Déambulations estivales, parisiennes et sans intérêt

Enfant j’habitais rue d’Hauteville et rue des Petites Ecuries, j’allais aux Galeries Lafayette par la rue Bergère, je passais devant les Folies bergères, puis la rue de Provence et le magasin A la Mère de famille, que de souvenirs dans ce vieux magasin, les pâtes de reglises, les pâtes de fruits, la vieille maison a été rachetée et a créé des succursales qui restent fidèles à la maison mère, leurs chocolats sont délicieux, je reste fidèle...

DEP&SI #3
Où Paris n’est pas qu’une fête, malheureusement

La rue Richer est connue essentiellement pour une chose…



les Folies Bergère, chef d’oeuvre d’Art Déco, qui ne sont donc pas rue Bergère !
Les folies, ces maisons propices aux fêtes nocturnes, portaient d’ordinaire le nom d’une rue proche de leur implantation. Mais Richer, Geoffroy-Marie et Trévise sont des noms de famille. Pour éviter d’éventuelles réclamations, la rue Bergère a été choisie.

Pour la petite histoire, le théâtre propose des noms de revues comportant toujours 13 lettres et le mot folie, comme dans Folies Bergère, ce qui n’entraîne pas une grande variété (un comble !) dans les titres : La Folie du jour, En super Folies et Féeries Folies pour Joséphine Baker, ou Folies en folie, pour Mistinguett (et son escalier).

Les Folies Bergère se visitent, mais faut bien viser : d’ici à mars 2024, il n’y a que 4 dates proposées !



Au croisement avec la rue de Trévise, une mosaïque de Next rappelle le terrible drame survenu le 12 janvier 2019, qui a coûté la vie à 4 personnes, dont deux pompiers.

Mû par une curiosité malsaine, je tourne à droite pour voir où en est la restauration de la rue. Près de 5 ans après, il y a toujours une palissade devant un immeuble en partie détruit. Je ne sais pas exactement où en sont les relogements, mais pour les indemnisations, il semble qu’il y ait encore beaucoup de chemin â parcourir.



Une photo des victimes, rassemblées en une association Trévise ensemble, orne la trop longue palissade. Il y a d’autres photos, des textes… Mais si l’on s’attache au fond (c’est important, de s’attacher au fond), on constate que celle-ci est recouverte d’une immense fresque comportant le mot ensemble écrit des milliers de fois. Il s’agit d’une oeuvre d’Arthur Simony, coloriée par les gens du quartier, petis et grands. Originalement prévue comme ne durer que deux ans, elle est toujours là.

Allez, à gauche, rue Sainte-Cécile…
L’église du même nom (mais pas éponyme) est un peu plus loin, sur la gauche.



Elle présente quelques particularités intéressantes. La messe y est dite suivant les heures, selon le rite de Paul VI et celui de Pie XII. Bien que ressemblant à une église gothique, elle est récente et a une structure métallique ! De plus, c’était initialement une église Saint Eugène, mais Sainte Cécile est vebue se greffer dessus (si j’ose dire) et a fini par le prendre (le dessus).
Voyons l’intérieur… ah non, flûte, il y a un baptême, ce sera pour une autre fois. Ça avait l’air magnifique.

Mais ce n’est pas tout ça, la faim me tenaille, un petit droite-gauche pour emprunter la rue d’Enghien, où de nombreux restaurants aguichent le chaland.

Parmi ceux-ci…



Les trois royaumes représentent une période courte mais mouvementée de l’histoire chinoise. Mais bon, on a dit pas chinois. Cela dit, ce n’est pas chinois, c’est sichuanais.



L’Avesta est un restaurant kurde qui propose une cuisine familiale et traditionnelle. Les échafaudages font penser à un attentat du PKK, mais il n’en est rien. On ira une prochaine fois, peut-être…



Le site de Pouliche est formel : chaleur, bonheur, cuisine au beurre… une cuisine joyeuse qui fait du bien !
Menu unique, végétarien le mercredi, poulet le dimanche. Là, on est samedi, je ne sais ce qu’Amandine, la cheffe, a concocté… en plus, faut traverser la rue… pfff… allez, on continue.

Le doute, à l’instar de la faim, commence à s’installer. Une petite voix intérieure me dit cependant d’avoir confiance. Je l’écoute.



Ah non, finalement, ce n’était pas une petite voix intérieure.

La rue d’Enghien se déverse rue du Faubourg Saint-Denis. À gauche, le passage Brady et sa horde de restaurants indo-pakistanais. À droite… mais oui, je n’y pensais plus, un autre passage, moins fréquenté et moins bien fréquenté, celui du Prado qui abrite deux restaurants plus qu’exotiques, où il m’est arrivé par le passé de me commettre. Let’s go.



Nous échouons finalement dans le mauricien. Des indices graves et concordants me laissent à penser que nous sommes les seuls à ne pas être d’origine mauricienne parmi la dizaine de personnes présentes, compte tenu des conversations qui animent le restaurant.
Cuisine simple et typique (comprendre épicée), 16,50 € à deux, plat et cannette.
Tout vient à point pour qui sait attendre.
(là, je pense aussi bien à moi qu’au lecteur)

Tu as raison, les folies bergères sont rue Richer. J’ai quitté ce quartier au début des années 80 et après j’ai découvert la rive gauche, essentiellement le 5, 6 et 7ème.
Effectivement, l’église Saint-Eugène Sainte-Cécile (en l’honneur de l’impératrice Eugénie la marrainede l’édifice) et Sainte Cécile car l’ancien concervatoire était tout proche, est méconnue et superbe.
Cette église néo-gothique a été édifiée sous Napoléon III en 18 mois grâce aux techniques des charpentes de fer. Mais les fines colonnes sont ornées de peintures polychromes superbes, avec une voûte étoilée.
Une précision quand même : c'est une église traditionaliste.

Une précision quand même : c'est une église traditionaliste.

Oui, c’est ce que j’ai cru comprendre avec leurs messes différentes selon le rite, Paul VI, Pie XII, etc.

Moi, le seul rite que je connaisse, c’est celui de Pie VII, le soir avant de me coucher…
Bon, OK, OK, je sors…

Et maintenant, où vont bien pouvoir nous emmener tes déambulations ?

Je suis impatiente de découvrir la suite du "voyage" et  

Je suis impatiente de découvrir la suite du "voyage"

Il en reste plusieurs, l’été n’est pas fini.
Enfin si, mais tu m’as compris…

La prochaine à venir bientôt.

DEP&SI #4 / 13-09-23
Où un chemin bien tracé conduit à une impasse

Plus que 8 jours avant la fin de l’été. Vite, déambulons.

Cette fois-ci, le but est de rejoindre le centre de Paris en partant de la gare de Lyon, mais uniquement par les berges de la Seine, côté droit. L’écueil principal se situe à la hauteur du Port de plaisance, qui donne sur la Seine, mais j’ai un plan, un passage secret !



Départ disais-je, de la gare de Lyon, dont la tour présente une particularité rarissime, que je vous laisse tenter de deviner (c’est visible sur la photo).

Trêve de bavardage, je rejoins les bords de Seine tout proches.



Sur les quais des 12e et le 13e arrindissements, les barges-restaurants abondent. Elles ne se valent pas toutes mais je serais bien incapable d’en conseiller une plutôt qu’une autre. Cependant, pour avoir déjeuné ou pris un verre dans quelques unes, je vous encourage à tenter cette expérience originale. Un petit conseil, malgré tout : préférez la rive gauche entre Bercy et Tolbiac, de part et d’autre de la passerelle Signoret…

Dans le fond, on aperçoit la Cité de la Mode et du Design. Comment d’ailleurs pourrait-on ne pas apercevoir ce qu’un ancien Président de la République avait officiellement appelé ce Truc Vert ? Un indice ? Il aurait pu le dire en haussant les épaules (et c’est peut-être même ce qu’il a fait).



Je passe sous le pont du Général de Gaulle. Au-dessus, c’est un pont qui relie les gares d’Austerlitz et de Lyon, drainant des milliers de parisiens stressés et de touristes pressés. Mais en dessous, la réalité est tout autre. Les tentes Quechua ont remplacé les valises à roulettes…



Le Louisiane Belle, inspirée des bâteaux qui ont fait les belles heures du Mississipi, est un des plus grands bateaux qui sillonnent la Seine à Paris, sinon le plus grand. Il peut accueillir jusqu’à 400 personnes ! Un autre bateau (pas pensé à relever le nom) est amarré à ses côtés, tandis que passe le Grand Pavois qui offre une vue panoramique sur Paris.
Tant de bateaux donne le tournis (voire le roulis), on n’est plus à Paris, sur la Seine, mais sur le Nil à Louxor !



Une fois dépassé le Louisiane Belle (on aperçoit une de ses roues à aube), un étroit cheminement conduit au pont d’Austerlitz, puis à la Capitainerie du Port de plaisance. Faut pas avoir le vertige, ce n’est pas bien large, il n’y a rien pour se tenir. Et je vous dis pas quand on croise quelqu’un… le combat fait rage pour rester du côté du mur !
Bon, ça n’arrive que rarement…



Sous le pont d’Austerlitz, coule la Seine…

Décidément, les ponts parisiens offrent des dessous peu ragoûtants. Quand on voit ces immondices, on se dit que ce n’est pas avant plusieurs années que l’on pourra se baigner dans la Seine.
Comment ? L’année prochaine ? Ah bon.

Je continue mon petit (c’est le cas de le dire) bonhomme de chemin vers la Capitainerie, comme je le faisais dans le temps. But WTF ? En français : mais que se passe-t-il ? Une porte métallique ferme désormais le passage, et curieusement, cette porte est verrouillée. Flûte, on ne peut plus passer. Tous ces risques pris pour rien, ça commence bien…

À suivre (ou pas)

A suivre of course !
Je me demande bien où tu nous emmènes par là, en fait je crois bien que je connais assez peu, donc, oui, à suivre, avec plaisir et curiosité !

xrctn a écrit:

Masterpo a écrit:WTF ? En français : mais que se passe-t-il ?

C'est mignon comme traduction

Ben, faut surveiller son langage, des fois qu’il y ait des générations alpha sur le forum… on ne sait jamais.

Quant a l'anomalie, j'ai peut-etre trouve encore plus fort :

Oui, ça élude le problème…

dolma a écrit:Je me demande bien où tu nous emmènes par là

Euh, par là… je t’emmène pas très loin, vu que la porte est fermée !!!

C'est juste mais tu peux peut-être sauter par-dessus la porte  ?

mais tu peux peut-être sauter par-dessus la porte

Réponse bientôt…

DEP&SI #4
Où le chemin le plus sûr, est celui des écoliers

Résumé de l’épisode précédent :
Après avoir pris des risques incroyables, je me suis trouvé face à une porte fermée qui scelle à jamais (du moins, en ce qui me concerne) un passage que je croyais secret et qui n’est que gardé.

Napoléon a dit qu’un bon croquis vaut mieux qu’un long discours. Il en est de même pour une bonne image. Voici donc une vue explicative de la situation, fournie par Google Earth (le génial Google Earth, sur lequel j’ai passé des heures à visiter de si nombreuses villes).



En bas, le long de la Seine, c’est le passage que j’ai emprunté, qui menait à la Capitainerie (sous le pont Morland) et l’on aperçoit la fameuse porte, après le bateau rouge, qui s’avèrera infranchissable.

Le but étant d’aller tout à gauche de l’image, il va donc me falloir faire demi-tour et prendre la piste cyclable (qui n’est à priori pas prévue pour les piétons, merci AH) le long de la voie express. Pfff…



Bon, un peu déçu, je retourne vers le pont Charles de Gaulle. Je repasse sous le viaduc d’Austerlitz alors qu’une rame l’emprunte. En fait, je vais être honnête, j’ai attendu qu’elle passe (c’est la principale tâche du photographe : attendre).

En face, le OFF, un bar-restaurant qui est aussi un hôtel flottant, c’est un peu bobo, mais je me dis qu’un jour, pourquoi pas, d’autant que les prix sont raisonnables (en ce moment). L’immeuble-pont qui le domine, est le nouveau siège du Monde (le journal), une merveille architecturale (et norvégienne) inaugurée en 2020.
J’irais bien les voir de plus près, mais ce n’est pas une rue qu’il faut traverser, c’est la Seine !



Là, ça ne se voit pas, mais je suis sur la piste cyclable.
De l’autre côté de la voie rapide, un bâtiment austère, des barreaux aux fenêtres, un chantier à ses pieds. Ça doit pas rigoler tous les jours à l’intérieur.
Ah, on me signale qu’il s’agit de l’Institut Médico-Légal (IML). Je comprends mieux les barreaux aux fenêtres : des fois que les pensionnaires aient des envies de liberté !



La piste cyclable conduit à un tunnel glauquissime qu’empruntaient autrefois les voitures, et qui mène à la voie George Pompidou, devenue piétonne en 2016. Mais j’opte pour cet escalier (visible sur la capture Google Earth, près des voies de la ligne 5) qui descend vers une sorte de no man’s land. Sur la photo, on a l’impression qu’il monte, mais je peux vous assurer qu’il descend aussi.



Ayé, j’ai franchi l’écueil que constituait le Port de plaisance. La porte fermée est là, en face, qui me nargue. Pas grave, je peux désormais longer le quai de Seine jusqu’au coeur de Paris…



Je parlais plus haut d’un no man’s land. Ce n’est pas tout â fait exact. Il y a là une petite troupe de danseurs qui, musique à fond, répète une choré (ne les cherchez pas sur la photo, ils sont derrière moi). Ils ne risquent pas de déranger grand-monde, on est pile sous les rails du métro. Ils sont en fait à côté de l’arbre, devant la façade de l’étrange maison prisonnière des infrastructures (cf capture Googke Earth), que j’ai connue jadis ouverte…



Dans cet espace réduit, à l’abri de l’agitation parisienne, se niche (c’est presque le cas de le dire) une pointe de street-art (Mr Byste).

À l’opposé du quai, un mystérieux passage invite à rejoindre le Port…

Intéressant ce carnet ! J’ai lu une page et demie, la suite plus tard, pas encore le temps de déambuler moi !

Intéressant ce carnet !

N’est-ce pas

pas encore le temps de déambuler moi !

Pas grave, je le fais à ta place…
Et puis, tu auras tout le temps de déambuler en janvier.

DEP&Si #4
Où l’on apprend une bien triste nouvelle

Un mystérieux passage conduit au Port de plaisance ?
Eh bien soit, allons-y.



Au plafond, est peinte une étrange étoile, dorée et difforme. Une plaque m’apprend qu’il s’agit d’une oeuvre de Georges Rousse, photographe plasticien, qui fait référence à l'étoile polaire qui éclaire la nuit et guide le navigateur.

Bigre, mais que signifient ces proportions étranges ?



Il suffit en fait de bien se placer. Ce n’est pas trop difficile d’ailleurs, une marque dorée indique l’endroit exact sur le sol. Et là, devant mes yeux éblouis, apparait une étoile parfaite ! C’était une anamorphose !

Je vous invite d’ailleurs à consulter cette sélection des oeuvres de Georges Rousse, c’est bluffant.

Une affiche attire mon attention…



C’est Omora, un border-collie de 4 ans. Il a été dérobé pendant que son maître, un berger itinérant travaillant en Gironde, s’est acheté un sandwich au Carrefour City de la gare de Lyon, avant de prendre le train. Les jours suivants, il a été aperçu, errant seul dans les rues de Paris, notamment par des caméras de vidéosurveillance.

J’ai eu toujours du mal avec ce genre d’affiches. Je pense au désespoir des maîtres, mais surtout à la détresse de l’animal, que ce soit un chat, un chien, ou même un furet, comme j’ai pu le voir cette année.

C’était le 5 septembre, nous sommes le 13, j’espère de toutes mes forces qu’il aura été retrouvé, le Pépère…



Le Port de plaisance offre une vue apaisante. Il y a un côté province (même s’il paraît qu’il faut plutôt dire régions). En tout cas, c’est paisible, un peu hors du temps, un monde différent, un monde… flottant !

La signalisation est différente, elle aussi. Quelle est la signification de ce panneau bizarre ? A priori, Pas de vagues. Si c’est le cas (et après vérification, ça l’est), on devrait le voir beaucoup plus souvent à Paris, notamment devant les ministères !



À la vue de la capture Google Earth publiée plus tôt, le lecteur curieux (j’aimerais avoir plus de lecteurs curieux que de curieux lecteurs) se sera demandé, s’il n’y avait pas eu de porte verrouillée, comment je pouvais néanmoins passer de l’autre côté. La reponse tient en six lettres : E-C-L-U-S-E.

Il y a un différentiel de trois mètres entre la Seine et le Port, et l’écluse qui permet la circulation des bateaux est équipée d’un passage bien pratique entre chaque côté du port. Bon là, c’est un mauvais exemple, la porte est en train de s’ouvrir pour laisser entrer un bateau, mais le reste du temps, on passe sans encombre, à pied ou à vélo.



Côté Boulevard de l’Arsenal, la vue sur le Port est encore plus belle.
Mais le coeur n’y est plus trop. Une porte fermée, un long détour, un chien disparu, ça fait beaucoup, j’arrête là cette déambulation mais je me promets, un prochain jour, de la reprendre à cet endroit précis.

NB Au moment où j’écris ces lignes, le voleur d’Omora a été retrouvé, mais pas Omora, qui est habitué à la nature et aux grands espaces, et ne connaît pas la grande ville. Son voleur l’a relâché le lendemain de son vol.

Des dizaines d’affiches parsèment encore Paris…

Salut Masterpo,

J'ai beaucoup aimé tes déambulations parisiennes 

NB Au moment où j’écris ces lignes, le voleur d’Omora a été retrouvé, mais pas Omora, qui est habitué à la nature et aux grands espaces, et ne connaît pas la grande ville. Son voleur l’a relâché le lendemain de son vol.

J'espère qu'Omora n'a pas été renversé par une voiture, et a pu retrouver son maître.

Bonne fin d'après-midi !

Bernadette y est restée après son décès, mais ça fait un bout de temps qu’on n’entend plus parler d’elle… si ce n’est par le film qui sort mercredi prochain, avec une distribution qui laisse rêveur (ou cauchemardeur, plutôt, si ça existait)…

Ce sera mon seul HS. Promis.
Un biopic ? Pas vraiment.
Faut pas en attendre plus qu’une joyeuse comédie, une fable satirique portée par la grande Catherine.

Bonsoir Kate,

Un biopic ? Pas vraiment.
Faut pas en attendre plus qu’une joyeuse comédie, une fable satirique portée par la grande Catherine.

Effectivement, c'est une joyeuse comédie :

Kate a écrit:Ce sera mon seul HS. Promis.

Pas de souci.

une fable satirique portée par la grande Catherine

Toutes les Catherine sont grandes

Hiacinthe a écrit:Effectivement, c'est une joyeuse comédie

Mouais… je suis pas très cinéma français, moi.
Et LD n’aurait pas été fille de, je ne sais pas si elle aurait pu faire ce film…

Hiacinthe a écrit:J'ai beaucoup aimé tes déambulations parisiennes

Merci Hiacinthe.
Elles ne sont pas terminées, il en reste 4 et demie, mais comme je les trouve sans réel intérêt (et que je ne suis pas le seul), je me suis dit que je les publierai l’année prochaine, ou celle d’après ^^

J'espère qu'Omora n'a pas été renversé par une voiture, et a pu retrouver son maître.

Nous partageons le même intérêt pour la cause canine.
 ce jour, a priori, Omora n’a toujours pas été retrouvé. Avec un peu de chance (si on oeut appeler ça de la chance), il aura été recueilli par quelqu’un qui s’occupe de lui.

Bonjour Masterpo,

Mouais… je suis pas très cinéma français, moi.

Je vais t'avouer une chose : moi non plus 

Il y a eu d'excellents films français à l'époque du noir et blanc, puis de très bonnes comédies que j'ai adorées, réalisées par Gérard Oury, Jean-Marie Poiré, Francis Veber, Robert Lamoureux, Jean-Jacques Annaud (comme comédie, je pense à "Coup de tête").

Comme film dramatique, je pense à Jean de Florette de Claude Berri.

Mais, tout comme "Bernadette", les films français actuels ne me tentent pas  

Et LD n’aurait pas été fille de, je ne sais pas si elle aurait pu faire ce film…

Peut-être pas 
ça aide beaucoup d'être fille ou fils de...

Il y a eu d'excellents films français à l'époque du noir et blanc

Des perles, même, comme Les Visiteurs du Soir, La Vérité, Marie Octobre ou L’Année dernière à Marienbad.
Il y a aussi quand même, quelques films français en couleur que j’adore, que je vois et revois sans fin, comme Pile ou Face, Ridicule ou Garde à Vue…