Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
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Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Bonjour Michel et Marie thé on vient de voir toutes vos super photos de votre voyage depuis le début et les nombreux commentaires hélas j’avais perdu le site aussi nous avons contacté Marie Mathilde qui nous a envoyé les coordonnées du site attention aux crocodiles on va pouvoir vous suivre régulièrement.
François et Ghislaine- Messages : 7
Date d'inscription : 04/10/2022
François et Ghislaine apprécie ce message
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Mardi 4 octobre - Bonjour à tous,
Encore de la pluie cette nuit et même au matin. Nous ne nous précipitons pas : départ de Marla à 9h00.
Nous faisons d'une traite les 235 kms qui nous séparent de Coober Pedy, pour arriver à 11h30.
25 kms avant d'arriver à Coober Pedy, nous sommes surpris par les milliers (en fait, les centaines de milliers) de monticules de terre qui parsèment, sérrés, le paysage. Nous comprenons rapidement qu'il s'agit de la terre d'extraction des galeries de mines.
Coober Pedy, gros bourg de 3.500 habitants est la capitale mondiale d'une pierre rare et lumineuse : l'opale. Coober Pedy produit 80 % de toutes les opales mondiales. De ce fait, Coober Pedy n'est pas une ville touristique, elle ressemblerait plutôt aux abords d'une grande ville de province française, pas du tout entretenus.
Pourtant, il y a tout de même des choses à voir et notre première visite est pour une église anglicane troglodyte, "Catacomb Church". Pourquoi troglodyte ? Parce que depuis la découverte des filons de pierre d'opale, vers 1920, une bonne partie de la ville a été construite sous terre, pour que ses habitants puissent se mettre à l'abri de la chaleur de l'endroit, et des mouches, particulièrement agressives dans tout l'Outback.
Et puisque nous somme donc dans une ville minière, notre seconde visite est pour une ancienne mine, "l'Old Timers Mine", transformée en musée. On y déambule de galeries en galeries, et même dans une réplique d'une maison souterraine. Le parcours dans l'ancienne mine permet de mieux comprendre les conditions de travail très difficiles des mineurs.
Sortis de la mine, nous tombons sur un engin bizarre, échoué sur ce que l'on pourrait qualifier de terrain vague. C'est le "Spaceship", un vaisseau spacial rescapé des décors du film "Pitch Black". Car la ville a servi de décor naturel à de nombreux films, dont "Pricilla, folle du désert", "Mad Max III", et d'autres...
En continuant notre marche sur la rue principale, bordée de dizaines de boutiques de bijoux d'opale, nous visitons l'église catholique St Peter et St Paul, elle aussi troglodytique, comme pour "Catacomb Church". Dans ces églises, des offices sont aussi régulièrement célébrés.
Bien évidemment, notre hébergement du soir sera un hôtel... troglodyte.
Encore de la pluie cette nuit et même au matin. Nous ne nous précipitons pas : départ de Marla à 9h00.
Nous faisons d'une traite les 235 kms qui nous séparent de Coober Pedy, pour arriver à 11h30.
25 kms avant d'arriver à Coober Pedy, nous sommes surpris par les milliers (en fait, les centaines de milliers) de monticules de terre qui parsèment, sérrés, le paysage. Nous comprenons rapidement qu'il s'agit de la terre d'extraction des galeries de mines.
Coober Pedy, gros bourg de 3.500 habitants est la capitale mondiale d'une pierre rare et lumineuse : l'opale. Coober Pedy produit 80 % de toutes les opales mondiales. De ce fait, Coober Pedy n'est pas une ville touristique, elle ressemblerait plutôt aux abords d'une grande ville de province française, pas du tout entretenus.
Pourtant, il y a tout de même des choses à voir et notre première visite est pour une église anglicane troglodyte, "Catacomb Church". Pourquoi troglodyte ? Parce que depuis la découverte des filons de pierre d'opale, vers 1920, une bonne partie de la ville a été construite sous terre, pour que ses habitants puissent se mettre à l'abri de la chaleur de l'endroit, et des mouches, particulièrement agressives dans tout l'Outback.
Et puisque nous somme donc dans une ville minière, notre seconde visite est pour une ancienne mine, "l'Old Timers Mine", transformée en musée. On y déambule de galeries en galeries, et même dans une réplique d'une maison souterraine. Le parcours dans l'ancienne mine permet de mieux comprendre les conditions de travail très difficiles des mineurs.
Sortis de la mine, nous tombons sur un engin bizarre, échoué sur ce que l'on pourrait qualifier de terrain vague. C'est le "Spaceship", un vaisseau spacial rescapé des décors du film "Pitch Black". Car la ville a servi de décor naturel à de nombreux films, dont "Pricilla, folle du désert", "Mad Max III", et d'autres...
En continuant notre marche sur la rue principale, bordée de dizaines de boutiques de bijoux d'opale, nous visitons l'église catholique St Peter et St Paul, elle aussi troglodytique, comme pour "Catacomb Church". Dans ces églises, des offices sont aussi régulièrement célébrés.
Bien évidemment, notre hébergement du soir sera un hôtel... troglodyte.
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
La ville paraît bien vide sur vos photos... Avez-vous croisé des miniers en soirée, au resto ou peut-être dans un bar (si vous vous êtes laissés tenter par une bière dans un dugout -nom donné à leurs habitations troglodytes) ? Ou même d'autres touristes ?
Il y a eu plusieurs émissions sur RMC sur les conditions de vie et de travail dans ces mines d'opale. Y a-t-il une ambiance particulière (ou seulement une chaleur harassante et des mouches !) ?
Il y a eu plusieurs émissions sur RMC sur les conditions de vie et de travail dans ces mines d'opale. Y a-t-il une ambiance particulière (ou seulement une chaleur harassante et des mouches !) ?
syncrasie- Messages : 11
Date d'inscription : 24/09/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Cette ville de Coober Pedy est vraiment étonnante. Je n'en avais jamais entendu parler.
Bonne continuation de votre circuit australien.
Bonne continuation de votre circuit australien.
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Bonjour à tous,
Pour commencer, quelques réponses à Syncrasie (que nous connaissons bien) : L'Australie ne manque pas de place, les villes sont toujours très étalées. Et comme la population n'est pas très nombreuse, on a toujours l'impression qu'il n'y a pas grand monde. On peut imaginer que, dans la journée, les gens travaillent et on ne risque pas de les encontrer dans la rue. Le soir, les restaurants et les bars jouent un rôle de rassemblement de la population, il réunissent du monde, sans doute des "locaux" et des touristes, et ces derniers sont presque exclusivement australiens.
En final, ceux que l'on peut rencontrer dans les rues dans la journée, ce sont surtout des aborigènes, lesquels paraissent désoeuvrés.
Les mouches, bien que très désagréables parce qu'agressives ne sont certainement pas une raison de désaffection des rues ; quant à la "chaleur", en ce moment, la température dans l'Outback se situe entre 12-15° le matin, 24-26° au plus chaud de la journée.
Croiser des mineurs ? Le travail dans les mines est désormais très mécanisé. On voit beaucoup de machines près des puits. Difficile dans ce cas de savoir reconnaître des mineurs dans les personnes rencontrées.
Mercredi 5 octobre
Cette fois nous ne savions pas le temps qu'il faisait en nous levant : pas de fenêtre dans notre chambre troglodyte.
Mais nous avons une bosse surprise en sortant : il fait beau, le soleil brille, même si le matin ces derniers jours, il ne fait qu'entre 12 et 16°.
Nous sommes toujours dans l'Outback, direction du sud, et notre étape d'aujourd'hui nous mène à Pimba, un roadhouse (relais routier) de quelques âmes, centré sur les services essentiels : carburant, restaurant, motel et petite boutique.
Notre premier arrêt est surprenant : ce qui ressemble à un passage piétons en pleine nature, à 100 kms de la plus proche agglomération !
Non, ce n'est pas pour traverser la route, il s'agit d'une portion de route délimitée de quelques centaines de mètres qui, en cas de nécessité, transforme la route en piste d'atterissage ou de décollage d'avion.
L'étape suivante est Glendambo, un autre roadhouse (il en faut sur cette très longue Stuart Highway).
Le panneau d'entrée du roadhouse témoigne de l'humour de ses 30 habitants : outre le nombre d'habitants et de moutons, il mentionne également le nombre de mouches ! Mais à mon avis, il doit manquer un ou deux zéros à la fin de l'effectif mentionné pour les mouches.
Un peu plus loin, le Lake Hart, un lac salé ; une courte promenade à travers la terre rouge permet de s'en approcher au plus près et de marcher sur les salines.
Nous avons la bonne surprise d'une rencontre insolite sur le trajet : des émeus
Mais ils n'effacent pas la tristesse d'avoir aussi rencontré, au fil de notre avancée, une bonne vingtaine de kangourous tués au bord ou sur la route après avoir été percutés par des voitures (ou des camions). Ces dépouilles étaient quelquefois anciennes (mais jamais enlevées), ou récentes, voire très récentes. Ces accidents ont lieu à la nuit tombante, ou de nuit, heures principales de sortie de ces animaux. Pour notre compte, n'aimant pas circuler à ces horaires, nous n'en avons encore pas vus.
Notre étape atteinte et après notre "installation", nous nous rendons à Woomera, à 7 kms à l'intérieur des terres.
Woomera, petite agglomération d'environ 300 habitants, est une ville artificielle destinée à loger le personnel travaillant dans une zone utilisée pour des tests de roquettes, des armes et des missiles. Sur la place principale sont exposées de nombreuses fusées qui ont été lancées de Woomera, et des avions militaires datant de 1960 à 1980.
C'est ensuite le retour à Pimba. Cette nuit, nous dormirons dans des "conteneurs"...
Pour commencer, quelques réponses à Syncrasie (que nous connaissons bien) : L'Australie ne manque pas de place, les villes sont toujours très étalées. Et comme la population n'est pas très nombreuse, on a toujours l'impression qu'il n'y a pas grand monde. On peut imaginer que, dans la journée, les gens travaillent et on ne risque pas de les encontrer dans la rue. Le soir, les restaurants et les bars jouent un rôle de rassemblement de la population, il réunissent du monde, sans doute des "locaux" et des touristes, et ces derniers sont presque exclusivement australiens.
En final, ceux que l'on peut rencontrer dans les rues dans la journée, ce sont surtout des aborigènes, lesquels paraissent désoeuvrés.
Les mouches, bien que très désagréables parce qu'agressives ne sont certainement pas une raison de désaffection des rues ; quant à la "chaleur", en ce moment, la température dans l'Outback se situe entre 12-15° le matin, 24-26° au plus chaud de la journée.
Croiser des mineurs ? Le travail dans les mines est désormais très mécanisé. On voit beaucoup de machines près des puits. Difficile dans ce cas de savoir reconnaître des mineurs dans les personnes rencontrées.
Mercredi 5 octobre
Cette fois nous ne savions pas le temps qu'il faisait en nous levant : pas de fenêtre dans notre chambre troglodyte.
Mais nous avons une bosse surprise en sortant : il fait beau, le soleil brille, même si le matin ces derniers jours, il ne fait qu'entre 12 et 16°.
Nous sommes toujours dans l'Outback, direction du sud, et notre étape d'aujourd'hui nous mène à Pimba, un roadhouse (relais routier) de quelques âmes, centré sur les services essentiels : carburant, restaurant, motel et petite boutique.
Notre premier arrêt est surprenant : ce qui ressemble à un passage piétons en pleine nature, à 100 kms de la plus proche agglomération !
Non, ce n'est pas pour traverser la route, il s'agit d'une portion de route délimitée de quelques centaines de mètres qui, en cas de nécessité, transforme la route en piste d'atterissage ou de décollage d'avion.
L'étape suivante est Glendambo, un autre roadhouse (il en faut sur cette très longue Stuart Highway).
Le panneau d'entrée du roadhouse témoigne de l'humour de ses 30 habitants : outre le nombre d'habitants et de moutons, il mentionne également le nombre de mouches ! Mais à mon avis, il doit manquer un ou deux zéros à la fin de l'effectif mentionné pour les mouches.
Un peu plus loin, le Lake Hart, un lac salé ; une courte promenade à travers la terre rouge permet de s'en approcher au plus près et de marcher sur les salines.
Nous avons la bonne surprise d'une rencontre insolite sur le trajet : des émeus
Mais ils n'effacent pas la tristesse d'avoir aussi rencontré, au fil de notre avancée, une bonne vingtaine de kangourous tués au bord ou sur la route après avoir été percutés par des voitures (ou des camions). Ces dépouilles étaient quelquefois anciennes (mais jamais enlevées), ou récentes, voire très récentes. Ces accidents ont lieu à la nuit tombante, ou de nuit, heures principales de sortie de ces animaux. Pour notre compte, n'aimant pas circuler à ces horaires, nous n'en avons encore pas vus.
Notre étape atteinte et après notre "installation", nous nous rendons à Woomera, à 7 kms à l'intérieur des terres.
Woomera, petite agglomération d'environ 300 habitants, est une ville artificielle destinée à loger le personnel travaillant dans une zone utilisée pour des tests de roquettes, des armes et des missiles. Sur la place principale sont exposées de nombreuses fusées qui ont été lancées de Woomera, et des avions militaires datant de 1960 à 1980.
C'est ensuite le retour à Pimba. Cette nuit, nous dormirons dans des "conteneurs"...
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Woomera a également une triste réputation à cause de son centre de rétention pour émigrés illégaux; certains y restent pendant des années…
Quant aux mouches… ce n’est pas encore la pleine saison! Là mieux vaut avoir des filets sur la tête!!!
Bientôt dans le Victoria donc.
Quant aux mouches… ce n’est pas encore la pleine saison! Là mieux vaut avoir des filets sur la tête!!!
Bientôt dans le Victoria donc.
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Cet itinéraire est une succession d'hébergements insolites En vous suivant, sur la carte je suis surprise de voir la quantité de lacs dans cette région.
4yne*- Messages : 566
Date d'inscription : 06/01/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Nous suivons avec intérêt vos péripéties assez mouvementées heureusement vous avez parfois quelques chutes de température attention que votre nouveau lieu de couchage à savoir votre conteneur ne parte pas vers une destination inconnue … bonne nuit quand même et à demain pour de nouvelles aventures on vous embrasse
François et Ghislaine- Messages : 7
Date d'inscription : 04/10/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Jeudi 6 octobre - Bonjour à tous,
175 kms ce matin pour rejoindre Port-Augusta. Les derniers kms que nous ferons sur la Stuart Highway après l'avoir parcourue sur 1.200 kms durant les quatre dernniers jours.
Quatre jours, cela peut paraître long, mais cela donne une bonne idée de ce que sont les immensités de l'Outback ; et de découvrir que cette immensité recèle aussi de vraies curiosités. Une expérience...
Un seul arrêt avant Port-Augusta : "Island Lagoon Salt Lake", l'un des nombreux lacs salés du sud de l'Outback.
A partir de Port-Augusta, nous remontons pour deux jours vers le Nord-Est, vers les Flinders Ranges.
Les Flinders Ranges, c'est une chaîne de montagnes du sud australien, et c'est aussi un parc national qu'il faut découvrir. Nous y consacrerons la journée de demain.
Mais pour l'instant, c'est le trajet vers Wilpena Pound, un immense amphithéâtre naturel de 11 kms de long sur 8 de large, c'est là que nous aurons, pour deux nuits, notre hébergement.
Un premier arrêt à Quorn, petite bourgade typique de l'Outback. Quorn a été un important carrefour ferroviaire jusqu'à l'interruption du service dans les Flinders, en 1970.
Un peu plus loin, Death Rock, un gros rocher de 7 mètres de haut, site historique autochtone.
Et Kanyaka, où les ruines de la gare de Kenyaka sont inscrites au registre du patrimoine de l'Australiedu sud.
Un peu avant d'arriver à Wilpena, nous rencontrons un couple d'émeus, très nombreux par ici parait-il. Nous verrons bien demain.
Le site de Wilpena
175 kms ce matin pour rejoindre Port-Augusta. Les derniers kms que nous ferons sur la Stuart Highway après l'avoir parcourue sur 1.200 kms durant les quatre dernniers jours.
Quatre jours, cela peut paraître long, mais cela donne une bonne idée de ce que sont les immensités de l'Outback ; et de découvrir que cette immensité recèle aussi de vraies curiosités. Une expérience...
Un seul arrêt avant Port-Augusta : "Island Lagoon Salt Lake", l'un des nombreux lacs salés du sud de l'Outback.
A partir de Port-Augusta, nous remontons pour deux jours vers le Nord-Est, vers les Flinders Ranges.
Les Flinders Ranges, c'est une chaîne de montagnes du sud australien, et c'est aussi un parc national qu'il faut découvrir. Nous y consacrerons la journée de demain.
Mais pour l'instant, c'est le trajet vers Wilpena Pound, un immense amphithéâtre naturel de 11 kms de long sur 8 de large, c'est là que nous aurons, pour deux nuits, notre hébergement.
Un premier arrêt à Quorn, petite bourgade typique de l'Outback. Quorn a été un important carrefour ferroviaire jusqu'à l'interruption du service dans les Flinders, en 1970.
Un peu plus loin, Death Rock, un gros rocher de 7 mètres de haut, site historique autochtone.
Et Kanyaka, où les ruines de la gare de Kenyaka sont inscrites au registre du patrimoine de l'Australiedu sud.
Un peu avant d'arriver à Wilpena, nous rencontrons un couple d'émeus, très nombreux par ici parait-il. Nous verrons bien demain.
Le site de Wilpena
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Exx Nous voyons que vous faites de très belles découvertes, mais que de kilomètres à parcourir dans cet immense pays.
Attention aux émeus et autres autruches,
Nous croyons que ces petites bêtes courrent très vite, ont mauvais caractère et un bec qui pince très fort.
Bonne suite de voyage avec des nuits dans des lieux de plus en plus insolites.
Attention aux émeus et autres autruches,
Nous croyons que ces petites bêtes courrent très vite, ont mauvais caractère et un bec qui pince très fort.
Bonne suite de voyage avec des nuits dans des lieux de plus en plus insolites.
JP MF- Messages : 5
Date d'inscription : 01/10/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
intéressant, l'émeu est il une sorte d'autruche ?
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
On dirait que le soleil est avec vous et les températures plus supportables que les jours précédents. profitez-en bien ! Encore quelques cailloux au programme et le décor devrait grandement changé, si j'ai bien retenu le circuit.
Comme tout bon voyage, vous aurez donc eu la partie "patrimoine ferroviaire"... Nous attendons avec impatience les photos du métro de Sidney ! mais d'ici là, il vous en reste encore à découvrir...
N.B : j'ai été "démasquée" à mon grand regret, même si j'avais peu de doutes que cela n'arrive pas
Comme tout bon voyage, vous aurez donc eu la partie "patrimoine ferroviaire"... Nous attendons avec impatience les photos du métro de Sidney ! mais d'ici là, il vous en reste encore à découvrir...
N.B : j'ai été "démasquée" à mon grand regret, même si j'avais peu de doutes que cela n'arrive pas
syncrasie- Messages : 11
Date d'inscription : 24/09/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Vendredi 7 octobre - Bonjour à tous,
La journée est consacrée à un circuit dans les Flingers Ranges.
Mauvais début : il a plu cette nuit, ce qui pourrait bien remettre en cause le passage par deux pistes déconseillées voire interdites par temps de pluie.
Un regard sur les radars de pluie : il n'y aura plus de pluie aujourd'hui. Et pour les nuages ? La couverture nuageuse du matin devrait disparaître vers la mi-journée. Donc, on peut y aller !
Nous rejoignons Blinman, la ville a eu son heure de gloire du temps de l'exploitation de sa mine de cuivre. Il y avait alors 1.500 habitants. L'exploitation de la mine de cuivre s'est arrêtée en 1907, il n'y a plus qu'une vingtaine d'habitants, vivant essentiellement du tourisme dans les Flingers Ranges, des restaurants et hôtels, et aussi des visites de la mine.
A notre inscription pour visiter la mine, il nous est remis une collier portant un badge à notre nom. A l'entrée de la mine, on accroche notre collier à un panneau ad hoc, pour le reprendre à la sortie. Ainsi, s'il reste des colliers, c'est que des visiteurs sont encore dans la mine, sans doute perdus. Rassurant...
Bien que la mine soit fermée, il reste des filons de cuivre. Mais l'exploitation ne serait plus rentable.
Nous sommes sortis de notre visite pour prendre la Parachilna. Il s'agit d'une piste de 28 kms. Après avoir fait la Mereenie Loop de 139 kms le 30 septembre, nous sommes des vétérans des pistes. Mais comment va être la Parachilna après la pluie ?
Disons-le tout de suite, c'est sans problème. Il n'y a pas eu assez de pluie pour rendre la piste problématique. Nous avons pu bénéficier de très beaux paysages.
Parachilna, ce n'est pas seulement une piste, c'est aussi le nom du village qui est au bout de cette piste. Un village de 7 habitants. Mais quel village ! Il doit sa réputation à son hôtel-restaurant "Prairie Hotel" dont la spécialité est de servir des plats utilisant des aliments locaux.
C'est ainsi que nous avons déjeuner avec un Mixed Grill de Chèvre, Chameau, Emeu et Kangourou !
Et puisque j'en suis à parler d'émeus, je réponds à Déborah : les émeus habitent en Australie, les autruches en Afrique Centrale et un peu en Afrique subsaharienne (nous n'en avons pas vus en Afrique du Sud, hormis en élevage, et les nandous habitent en Patagonie (nous en avons effectivement vus). Ce sont des oiseaux qui ne volent pas (comme d'ailleurs le kiwi néo-zélandais, qui fait partie de la même famille). Je ne suis pas un spécialiste ornithologue mais je suppose qu'ils sont tous dans une classification commune qui leur est particulière.
Pour revenir à notre repas, nous avons fini par une Pavlova, comme l'avait suggérée Syncrasie.
Au sortir du restaurant, le soleil était là pour continuer notre circuit. Nous avons alors rejoint la seconde piste prévue, la "Moralana scenic drive". Cette fois, c'était plus compliqué mais nous y sommes arrivés : 1h30 pour faire 28 kms ! Mais avec de très nombreux arrêts
En effet, outre les magnifiques paysages, la Moralana scenic est un vrai "zoo naturel". Nous avons rencontré de nombreux kangourous et émeus, et aussi une lézard, beaucoup plus gros que nos lézards français.
Une bien belle journée, même si le changement de temps avec la pluie de la nuit à empêché les températures de dépasser les 20°. Un peu frais...
La journée est consacrée à un circuit dans les Flingers Ranges.
Mauvais début : il a plu cette nuit, ce qui pourrait bien remettre en cause le passage par deux pistes déconseillées voire interdites par temps de pluie.
Un regard sur les radars de pluie : il n'y aura plus de pluie aujourd'hui. Et pour les nuages ? La couverture nuageuse du matin devrait disparaître vers la mi-journée. Donc, on peut y aller !
Nous rejoignons Blinman, la ville a eu son heure de gloire du temps de l'exploitation de sa mine de cuivre. Il y avait alors 1.500 habitants. L'exploitation de la mine de cuivre s'est arrêtée en 1907, il n'y a plus qu'une vingtaine d'habitants, vivant essentiellement du tourisme dans les Flingers Ranges, des restaurants et hôtels, et aussi des visites de la mine.
A notre inscription pour visiter la mine, il nous est remis une collier portant un badge à notre nom. A l'entrée de la mine, on accroche notre collier à un panneau ad hoc, pour le reprendre à la sortie. Ainsi, s'il reste des colliers, c'est que des visiteurs sont encore dans la mine, sans doute perdus. Rassurant...
Bien que la mine soit fermée, il reste des filons de cuivre. Mais l'exploitation ne serait plus rentable.
Nous sommes sortis de notre visite pour prendre la Parachilna. Il s'agit d'une piste de 28 kms. Après avoir fait la Mereenie Loop de 139 kms le 30 septembre, nous sommes des vétérans des pistes. Mais comment va être la Parachilna après la pluie ?
Disons-le tout de suite, c'est sans problème. Il n'y a pas eu assez de pluie pour rendre la piste problématique. Nous avons pu bénéficier de très beaux paysages.
Parachilna, ce n'est pas seulement une piste, c'est aussi le nom du village qui est au bout de cette piste. Un village de 7 habitants. Mais quel village ! Il doit sa réputation à son hôtel-restaurant "Prairie Hotel" dont la spécialité est de servir des plats utilisant des aliments locaux.
C'est ainsi que nous avons déjeuner avec un Mixed Grill de Chèvre, Chameau, Emeu et Kangourou !
Et puisque j'en suis à parler d'émeus, je réponds à Déborah : les émeus habitent en Australie, les autruches en Afrique Centrale et un peu en Afrique subsaharienne (nous n'en avons pas vus en Afrique du Sud, hormis en élevage, et les nandous habitent en Patagonie (nous en avons effectivement vus). Ce sont des oiseaux qui ne volent pas (comme d'ailleurs le kiwi néo-zélandais, qui fait partie de la même famille). Je ne suis pas un spécialiste ornithologue mais je suppose qu'ils sont tous dans une classification commune qui leur est particulière.
Pour revenir à notre repas, nous avons fini par une Pavlova, comme l'avait suggérée Syncrasie.
Au sortir du restaurant, le soleil était là pour continuer notre circuit. Nous avons alors rejoint la seconde piste prévue, la "Moralana scenic drive". Cette fois, c'était plus compliqué mais nous y sommes arrivés : 1h30 pour faire 28 kms ! Mais avec de très nombreux arrêts
En effet, outre les magnifiques paysages, la Moralana scenic est un vrai "zoo naturel". Nous avons rencontré de nombreux kangourous et émeus, et aussi une lézard, beaucoup plus gros que nos lézards français.
Une bien belle journée, même si le changement de temps avec la pluie de la nuit à empêché les températures de dépasser les 20°. Un peu frais...
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Paysages, faune et flore sous le soleil... que de beau souvenirs !
Ne vous plaigniez pas de la température, c'est pour commencer à vous acclimater à la sobriété énergétique à votre retour.
Il y a de chameaux en Australie ??? C'est une belle dégustation que vous avez eu là. Et vous aviez encore assez d'appétit pour un pavlova en dessert !
Ne vous plaigniez pas de la température, c'est pour commencer à vous acclimater à la sobriété énergétique à votre retour.
Il y a de chameaux en Australie ??? C'est une belle dégustation que vous avez eu là. Et vous aviez encore assez d'appétit pour un pavlova en dessert !
syncrasie- Messages : 11
Date d'inscription : 24/09/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Il n'y a pas de chameaux en Australie mais il y a des dromadaires (introduits en Australie par les Anglais, d'après Wikipédia).
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Ces animaux introduits par les Anglais se sont si bien acclimatés qu'ils sont retournés à l'état sauvage et se sont multipliés, il y en a des hordes dans certaines régions.
4yne*- Messages : 566
Date d'inscription : 06/01/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Merci beaucoup pour ces précisions complémentaires.
Je me suis laissée aveuglée par le récit, mais l'étiquette sur la photo montre bien qu'il s'agit d'un dromadaire et non d'un chameau !
Je n'aurai pas pensé qu'il puisse y en avoir là-bas, et pour cause vous confirmez bien que ce n'est en rien une espèce endémique, mis à part peut-être quelques élevages (pour la viande, le lait ou la laine ?)
Je me suis laissée aveuglée par le récit, mais l'étiquette sur la photo montre bien qu'il s'agit d'un dromadaire et non d'un chameau !
Je n'aurai pas pensé qu'il puisse y en avoir là-bas, et pour cause vous confirmez bien que ce n'est en rien une espèce endémique, mis à part peut-être quelques élevages (pour la viande, le lait ou la laine ?)
syncrasie- Messages : 11
Date d'inscription : 24/09/2022
Philéas- Messages : 2094
Date d'inscription : 15/01/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Bravo pour ce bel itinéraire avec de belles montagnes agrémentées par des pistes bien sympathiques, beau restaurant au bout de votre piste,on retrouve tous les animaux du coin ça doit être très agréable!!!! Bonne suite.
François et Ghislaine- Messages : 7
Date d'inscription : 04/10/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
À propos des dromadaires en Australie, ils sont considérés comme une espèce nuisible car ils détruisent la végétation, les points d’eau et les clôtures. Il y a régulièrement des campagnes pour réduire leur nombre (plusieurs centaines de milliers). Certains sont exportés aux Émirats!
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Samedi 8 octobre - Bonjour à tous,
Avant de parler de la journée d'aujourd'hui, je reviens sur le débat qui a suivi mon récit d'hier.
Bien sûr, nous avions aussi été surpris de voir un dromadaire sur l'étiquette de la viande servie sous le nom de "chameau" au restaurant "Prairie Hôtel" de Parachilna.
Ce qui est sûr, c'est que l'étiquette affiche bien un dromadaire (1 bosse) ; et ce sont bien des dromadaires qui ont été introduits par les européens en Australie.
Mais ce qui est troublant, c'est que les australiens ne parlent jamais de dromadaires, mais bien de chameaux. Phonéiquement, lorsqu'ils parlent de ces animaux, ils disent des "kamo", nous l'avons entendu à de nombreuses reprises. Ces animaux vivent dans l'Outback. Nous avons vu à Ayers Rocks des affiches proposant des excursions à dos de chamaux. Ainsi, s'il y a bien ambiguïté, ce sont bien les Australiens qui la nourisse.
Revenons à notre journée du 8 octobre
Pas de sortie touristique à raconter. La journée était une journée de transition pendant laquelle nous avons quitté l'Outback pour entrer dans des territoires d'apparence plus familière.
7° et du soleil lorsque nous avons quitté notre hébergement de Wilpena, dans les Flingers Ranges. Dans la journée, il y a eu alternance de soleil et de pluie, le thermomètre n'a réussi à dépasser les 14° qu'à l'arrivée à Adélaïde.
Melrose, au pied du "Mont Remarkable"
Mais les paysages ont changé. Fini le bush. Les agglomérations se sont beaucoup moins espacées, les terres cultivées ont pris possession du territoire : moutons, colza, seigle et blé, et aussi vignes du côté de Clare.
Je pense que les vignerons français seraient bien surpris de cette manière de tailler la vigne...
Arrivés en seconde partie d'après-midi à Adélaïde, nous avons été acueillis par le "The Big Scotsman", sculpture placée au-dessus d'un motel, oeuvre de Paul Kelly, également auteur du "Big Lobster" que nous devrions voir le 12 octobre
Le temps de nous installer et nous partons pour un petit tour dans le quartier de "Nord Adélaïde", notamment à "North Terrace" avant de dîner au restaurant, et de rentrer à l'hôtel avec 12°. Nous nous entraînons pour notre retour en France, au milieu des restrictions....
Avant de parler de la journée d'aujourd'hui, je reviens sur le débat qui a suivi mon récit d'hier.
Bien sûr, nous avions aussi été surpris de voir un dromadaire sur l'étiquette de la viande servie sous le nom de "chameau" au restaurant "Prairie Hôtel" de Parachilna.
Ce qui est sûr, c'est que l'étiquette affiche bien un dromadaire (1 bosse) ; et ce sont bien des dromadaires qui ont été introduits par les européens en Australie.
Mais ce qui est troublant, c'est que les australiens ne parlent jamais de dromadaires, mais bien de chameaux. Phonéiquement, lorsqu'ils parlent de ces animaux, ils disent des "kamo", nous l'avons entendu à de nombreuses reprises. Ces animaux vivent dans l'Outback. Nous avons vu à Ayers Rocks des affiches proposant des excursions à dos de chamaux. Ainsi, s'il y a bien ambiguïté, ce sont bien les Australiens qui la nourisse.
Revenons à notre journée du 8 octobre
Pas de sortie touristique à raconter. La journée était une journée de transition pendant laquelle nous avons quitté l'Outback pour entrer dans des territoires d'apparence plus familière.
7° et du soleil lorsque nous avons quitté notre hébergement de Wilpena, dans les Flingers Ranges. Dans la journée, il y a eu alternance de soleil et de pluie, le thermomètre n'a réussi à dépasser les 14° qu'à l'arrivée à Adélaïde.
Melrose, au pied du "Mont Remarkable"
Mais les paysages ont changé. Fini le bush. Les agglomérations se sont beaucoup moins espacées, les terres cultivées ont pris possession du territoire : moutons, colza, seigle et blé, et aussi vignes du côté de Clare.
Je pense que les vignerons français seraient bien surpris de cette manière de tailler la vigne...
Arrivés en seconde partie d'après-midi à Adélaïde, nous avons été acueillis par le "The Big Scotsman", sculpture placée au-dessus d'un motel, oeuvre de Paul Kelly, également auteur du "Big Lobster" que nous devrions voir le 12 octobre
Le temps de nous installer et nous partons pour un petit tour dans le quartier de "Nord Adélaïde", notamment à "North Terrace" avant de dîner au restaurant, et de rentrer à l'hôtel avec 12°. Nous nous entraînons pour notre retour en France, au milieu des restrictions....
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Camel (chameau) est un terme générique qui recouvre chameaux et dromadaires, que nous appelons aussi camélidés (groupe qui comprend également les lamas, les alpagas, les vigognes et les guanacos).
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Comme pour les langoustes et homards qui se retrouvent sous la même dénomination de "lobster".
4yne*- Messages : 566
Date d'inscription : 06/01/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Paul Kelly ? Est-ce aussi le chanteur?
Puisque vous êtes en Australie, peut-être serez vous intéressés d’écouter quelques unes des ses chansons. Il est une bonne représentation du ‘son’ australien dans le style country-rock.
Musiques et voyages sont deux mots qui vont très bien ensemble…
https://youtu.be/Lpy9Tp31enA
https://youtu.be/dAONlfoNVuY
Puisque vous êtes en Australie, peut-être serez vous intéressés d’écouter quelques unes des ses chansons. Il est une bonne représentation du ‘son’ australien dans le style country-rock.
Musiques et voyages sont deux mots qui vont très bien ensemble…
https://youtu.be/Lpy9Tp31enA
https://youtu.be/dAONlfoNVuY
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
A mon tour de faire un peu de recherche wikipedia :-)
Il en ressort qu'il y a beaucoup de Paul Kelly (vraiment beaucoup si on ajoute les "anonymes"), et deux dont le nom est associé à Adélaïde !!!
Il y a l'artiste qui fait des statues grand format.
D'après l'article suivant, il avait 82 ans en 2018, il est donc né au milieu des années 30, et il y a même sa photo.
https://www.adelaidenow.com.au/news/south-australia/insight-south-australian-artist-paul-kelly-who-started-the-big-things-craze-speaks-about-his-iconic-structures/news-story/2afa554a512438369b7f489566fa4f6e
Et l'artiste musicien, né à Adélaïde au milieu des années 50. Les chansons sont super sympas, c'est du bon son pour parcourir les km sauvages et désertiques de l'Australie
Après, on peut aussi regarder côté USA, il y a encore d'autres Paul Kelly célèbres :-) (des artistes, mais pas que, aussi quelques criminels !)
Il en ressort qu'il y a beaucoup de Paul Kelly (vraiment beaucoup si on ajoute les "anonymes"), et deux dont le nom est associé à Adélaïde !!!
Il y a l'artiste qui fait des statues grand format.
D'après l'article suivant, il avait 82 ans en 2018, il est donc né au milieu des années 30, et il y a même sa photo.
https://www.adelaidenow.com.au/news/south-australia/insight-south-australian-artist-paul-kelly-who-started-the-big-things-craze-speaks-about-his-iconic-structures/news-story/2afa554a512438369b7f489566fa4f6e
Et l'artiste musicien, né à Adélaïde au milieu des années 50. Les chansons sont super sympas, c'est du bon son pour parcourir les km sauvages et désertiques de l'Australie
Après, on peut aussi regarder côté USA, il y a encore d'autres Paul Kelly célèbres :-) (des artistes, mais pas que, aussi quelques criminels !)
syncrasie- Messages : 11
Date d'inscription : 24/09/2022
Re: Septembre-Octobre 2022 - Aspects de l'Australie
Dimanche 9 octobre - Bonjour à tous,
Petite précision préalable, pour répondre à Xavier : le sculpteur Paul Kelly n'est pas le chanteur du même nom. Ils ne sont pas du tout de la même génération. Mais nous écouterons Paul Kelly le chanteur lorsque nous serons de retour en France car ici, nous ne sommes pas du tout équipés pour le faire.
Ce matin, nous avons choisi de nous rendre au Jardin Botanique d'Adélaïde, proche de notre hôtel, avant de descendre vers le Sud.
Le jardin botanique d'Adélaïde est articulé autour de 8 jardins et de plusieurs bâtiments aux architectures remarquabl. Aujourd'hui dimanche, de nombreux visiteurs avaient manifestement prévu de pique-niquer sur les belles pelouses du parc, malgré la température qui ne dépassait pas les 15° pourtant sous un très beau soleil. Autant dire que lorsque nous sommes partis, à 11h00, nous avons fait un heureux tellement de voitures recherchaient une place pour se garer.
Impossible bien sûr de montrer trop de photos, mais en voici cependant quelques unes pour illustrer ce très beau parc.
En Australie, c'est le printemps. Les glycines sont en fleurs.
Notre descente vers le sud au travers de la péninsule de Fleurieu nous a amenée à McLaren Vale, une importante région vinicole d'Australie. Nous avons pris le temps d'acheter du vin, en petite quantité car il va nous falloir le consommer avant de quitter l'Australie.
Un peu plus loin, après être passés près des plages de Willunga (vides bien sûr au vu de la température), nous avons considéré que notre marge de temps avant de prendre le ferry nous laissait le temps d'un agréable petit détour vers Ingalalla Falls, jolies chutes d'eau dans un décor bucolique. Pas de problème s'il faut faire une partie du trajet par des pistes pour y arriver. Nous commençons à nous y habituer.
Et c'était enfin l'arrivée à l'embarquement de Cape Jervis, pour rejoindre l'Île de Kangaroo Island. Notre marge de temps n'ayant pas été consommée, nous avons pris un ferry plus tôt que celui qui était prévu, et nous voici donc maintenant sur l'Île de Kangaroo Island, dont nous espérons (si la météo reste clémente) deux très belles journées.
A noter (pour Syncrasie) que nous avons enfin trouvé des biscuits Anzac. Il ne nous reste plus qu'à les goûter...
Petite précision préalable, pour répondre à Xavier : le sculpteur Paul Kelly n'est pas le chanteur du même nom. Ils ne sont pas du tout de la même génération. Mais nous écouterons Paul Kelly le chanteur lorsque nous serons de retour en France car ici, nous ne sommes pas du tout équipés pour le faire.
Ce matin, nous avons choisi de nous rendre au Jardin Botanique d'Adélaïde, proche de notre hôtel, avant de descendre vers le Sud.
Le jardin botanique d'Adélaïde est articulé autour de 8 jardins et de plusieurs bâtiments aux architectures remarquabl. Aujourd'hui dimanche, de nombreux visiteurs avaient manifestement prévu de pique-niquer sur les belles pelouses du parc, malgré la température qui ne dépassait pas les 15° pourtant sous un très beau soleil. Autant dire que lorsque nous sommes partis, à 11h00, nous avons fait un heureux tellement de voitures recherchaient une place pour se garer.
Impossible bien sûr de montrer trop de photos, mais en voici cependant quelques unes pour illustrer ce très beau parc.
En Australie, c'est le printemps. Les glycines sont en fleurs.
Notre descente vers le sud au travers de la péninsule de Fleurieu nous a amenée à McLaren Vale, une importante région vinicole d'Australie. Nous avons pris le temps d'acheter du vin, en petite quantité car il va nous falloir le consommer avant de quitter l'Australie.
Un peu plus loin, après être passés près des plages de Willunga (vides bien sûr au vu de la température), nous avons considéré que notre marge de temps avant de prendre le ferry nous laissait le temps d'un agréable petit détour vers Ingalalla Falls, jolies chutes d'eau dans un décor bucolique. Pas de problème s'il faut faire une partie du trajet par des pistes pour y arriver. Nous commençons à nous y habituer.
Et c'était enfin l'arrivée à l'embarquement de Cape Jervis, pour rejoindre l'Île de Kangaroo Island. Notre marge de temps n'ayant pas été consommée, nous avons pris un ferry plus tôt que celui qui était prévu, et nous voici donc maintenant sur l'Île de Kangaroo Island, dont nous espérons (si la météo reste clémente) deux très belles journées.
A noter (pour Syncrasie) que nous avons enfin trouvé des biscuits Anzac. Il ne nous reste plus qu'à les goûter...
Michel d'Orléans- Messages : 52
Date d'inscription : 22/05/2022
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