Carnet de voyage au Sultanat d'Oman en camion aménagé

Le carnet de voyage suivi du  diaporama pour l'illustrer.


Voyage au Sultanat d’Oman

Partis de France à bord de notre camion, en décembre 2019, nous avons traversé la l’Italie, la Grèce, la Turquie, rapidement à cause de la température et la peur du verglas ou d’être bloqués par la neige à plus de  3000m d’altitude. Il a beaucoup neigé mais la route est bien dégagée. Puis l’Iran et ferry pour la traversée du détroit d’Ormuz dans le golf persique, jusqu’aux émirats arabes unis.


Après plus d’un mois pour faire 6080 km, on arrive à la Péninsule Musandam au sultanat d’Oman. Découverte de la péninsule, belle route, puis piste qui descend à Khor najd, petit port de pêche, et retour sur la route et piste dans les rochers, Ça monte, ça descend, la piste est de plus en plus difficile et étroite.
Alors dès que s’est possible, on fait 1/2 tour. Retour à Kassab.


Croisière dans les fjords en compagnie de dauphins et baignade avec les poissons.


On est tout les 2 sur le bateau, avec un skipper plus une personne, pour nous servir à boire et à manger. On a passé une belle journée et vu un paysage magnifique.



Après la visite du fort bukka et belle vue sur la péninsule, on est obligés de repasser aux Emirats pour retourner à Oman. On est au mois de janvier, la température est agréable.


Visite du  fort de Sohar,
 

et celui d’Al Rustaq, puis  balade dans la vieille ville, aux maisons en torchi.


Nakkal : le fort fermé pour restauration,

Barka, le marché aux poissons.

On arrive à Muscate, la capitale du pays. Vue sur la ville et la mosquée Amine.

Belle plage et kite surfeurs.

Visite de la mosquée du sultan Qaboos, qui peut contenir 20000 fidèles et qui est ouverte aux touristes non musulmans. Il faut juste être habillé, jambes, bras couverts, foulard et quitter ses chaussures à l’entrée. Magnifique.
Sultan Qaboos : à 30 ans, il renverse son père qui régnait en despote, sur le sultanat qui était un pays sous-développé, refermé sur lui-même et le plus pauvre de la péninsule. Il dirigea son pays d’une main de fer tout en oeuvrant pour sa modernisation et l’ouverture du sultanat sur le monde.

     
 Grand amateur de la musique classique, il fait construire l’opéra royal. Après 50 ans au pouvoir, il meurt en janvier 2020

Visite du musée Baltal.


Matras visite de la ville portuaire, du souk. Dans le port les bateaux du sultan.
On quitte Muscate, par la route cotière,
Petit détour par un village de pêcheurs et le barrage Al Mazara.


Piste jusqu’au parc Haxiyat où se trouve le Bimmah sinkhole : une piscine naturelle de 40 m de long dans une vaste roche creuse.
Randonnée à wadi shab, décor magnifique, piscine naturelle, cascade, grotte.

On continue jusqu’à Sour, fabrique de boutre : bateau en bois, traditionnel arabe.


Raz el Jinz réserve de tortues de mer. Il faut attendre la nuit pour aller voir par petits groupes et en silence, les tortues pondre. Il  y en a 2. Elles creusent un trou, pondent une centaine d’oeufs, les recouvrent de sable puis retournent en mer. Quel spectacle et que d’émotion.  Dans un mois, les oeufs vont éclore, les petites tortues partiront en mer et reviendront dans quelques années pour pondre à leur tour. Bivouac sur le parking.



Le lendemain,  wadi Bani khalid, petit paradis, très touristique. Randonnée jusqu’au bassin naturel à la source de la rivière. Baignade dans l’eau limpide et à la température idéale.

On quitte le bord de mer, pour le désert Wahibah. On aurait voulu le traverser,  accompagnés d’un autre équipage en camion, pour pouvoir s’entraider en cas de problème. mais on n’en a pas trouvé. Et comme ce n’est pas prudent de faire cette traversée tout seuls, après une nuit et une balade à pied dans les dunes, on fait demi tour, retour en bord de mer.(a suivre)
pour plus de photos, le lien Instagram https://www.instagram.com/p/CTaBNITFWfU/?utm_source=ig_web_copy_link&igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Encore des lieux magnifiques à découvrir: Oman parait bien attirante.

félicitations, cela vaut vraiment le coup avec les photos car on découvre des paysages et une géologie tout à fait particuliers 

Peux tu nous dire quelle est l'étendue d'eau bleu des mers du sud qu'on voit dans la première photo ? Tu parles de "fjords", qu'est ce que cela signifie dans ce pays là ?

La péninsule Musadam appelée aussi la Norvège d'Arabie, est située au nord est de la péninsule arabique, au nord des Émirats arabes unis, dans le détroit d'Ormuz. difficile de dire l'étendue des eaux.

Retour en bord de mer et ferry pour l’ile de Masirah. Village de pêcheurs, belles plages.

 
On fait la connaissance d’un campeur Omanais, fier des calamars qu'il vient de pêcher et nous invite à manger des poissons qu’il a pêché, puis aller voir des tortues pondre, la nuit.

Pendant notre balade sur l’ile, on rencontre un couple d’allemands qui voyagent comme nous. On passe 5 jours à jouer au Robinson. On voit des belles plages et des coquillages, mais aussi, du corail, des cadavres de tortues, de poissons et des détritus de toutes sortes. Dommage.

Le tour de l’ile terminé, retour au port pour prendre le ferry.



On traverse une zone désertique Pour arriver à wadi suneik par la route panoramique


puis sur la route priorité aux dromadaires.


On traverse une forêt de baobabs, randonnée à wadi darbat, cascade, et visite du parc archéologique de Sumhuran, puis du château de Taqah, bien restauré.

On arrive à Salalah, la capitale de la région du Dhofar au sud du pays. Visite du musée de l’encens, qui retrace l’histoire maritime  du pays, de l’encens, et des échanges commerciaux du pays avec le reste du monde 2000 AV JC.

Après un tour dans la ville et des achats au souk, on continue direction la frontière du Yémen.  Au dernier contrôle de police, on fait 1/2 tour, la frontière fermée.


On prend une piste qui descend sur une plage magnifique, tranquille près d’un village de pêcheurs.


On leur achète des langoustes, ils nous en donnent le double en cadeau.
                             
On y passe une semaine, en compagnie de dromadaires Le chamelier nous donne du lait de chamelle. Température de l’air et de la mer idéale.


L’après midi, on rencontre une famille, les femmes se baignent tout habillées. Mais pas de  problème, pour nous, on peut aussi se baigner et après la baignade, on nous offre le thé, des biscuits et des bouteilles d’eau. On est bien, mais toutes les bonnes choses ont une fin. Le voyage doit continuer.(a suivre)

On était descendus jusqu’à Sallalah par la route côtière, maintenant on remonte par la route intérieure du pays.


Arrêt au Park de wadi dawkah, à la plantation d’arbres à encens.
L’encens a  fait la fortune des commerçants omanais depuis plus de 2000 ans. Les pharaons l’utilisaient pour purifier l’air et pour ses vertus thérapeutiques. Utilisée aussi dans la religion catholique, sa culture et sa récolte sont menacées à cause des conflits, au Soudan et au Yémen mais aussi à cause du réchauffement climatique.
Pour récolter l’encens, on fait une incision dans l’écorce de l’arbre, pour faire couler la sève. Quelques perles blanches en découlent et sont mises à sécher jusqu’à ce qu’elles se transforment en cristaux jaunâtres.

                                         



Après avoir traversé une zone désertique, on fait un détour de 60 Km, à Hayma, pour le sanctuaire des oryx blancs d’arabie.


Après  47 km de piste, on arrive devant la réserve, mais il est tard et c’est fermé. Alors bivouac. La réserve autrefois interdite au public, a été récemment ouverte pour le développement du tourisme.
Le lendemain, on est contents de découvrir ces antilopes, bêtes du désert et appelées aussi licornes blanches qui étaient, en danger d’extinction, pour avoir été beaucoup chassées. Depuis la création des sanctuaires, aux Emirats et en Arabie saoudite, elles ne sont plus en danger, mais toujours surveillées par des gardes à cause des braconniers.
Alors qu’on remonte le sultanat, pensant pouvoir continuer notre voyage vers les émirats et l’Arabie Saoudite, on apprend que toutes les frontières sont fermées à cause du Covid. On hésite. Direction les Emirats ou retour à Mascate.


Direction Mascate, mais notre visite du pays continue. Arrêt à Jabreen. Visite du château et bivouac sur le parking


Puis Bahla ville fortifiée et bien restaurée.
Djebel Sham, 2000M d’altitude.  Rando balcon walk de 10 km.

Balade à  Misfat al Abrilyyin, en respectant les consignes.



Al hamra visite de la vieille ville aux maisons en torchi, terre et paille. Elles sont en ruines mais on dirait que la restauration a commencé. puis balade dans  la palmeraie.
On prend la piste pour snake canyon. Ça monte, ça descend,  la piste est de plus en plus mauvaise et étroite.



Alors dans un village on finit par demander conseil. On nous déconseille de continuer avec un camion. Le décor de montagne est magnifique, alors après une randonnée dans le canyon,  on décide de  faire 1/2 tour.

OMAN : ce n'est pas le premier carnet que je vois sur ce pays. À chaque fois je constate que ce pays est très varié et très beau.
Quand en plus les photos sont très belles aussi, comme dans ce carnet, c'est un vrai plaisir à lire.
Merci pour le partage. Je vais guetter la suite.

Merci Pifil pour ce message. la suite de ce carnet bientôt.

Retour à Mascate. A  l’ambassade de France on nous confirme que les frontières sont fermées, peut être pour 6 semaines et que demain après le départ de l’avion, l’aéroport aussi va fermer. On n’a pas envie de prendre l’avion, en laissant notre camion ici. On choisit de rester et d’attendre que les frontières ouvrent, mais dans combien de temps ?
Dans ce pays, pas de campings, mais les endroits pour camper, ne manquent pas.

On peut faire les pleins d’eau, aux robinets des mosquées ou avec les camions de citernes d’eau.

ou dans les usines de dessalinisation de l’eau,

Alors qu’on campe depuis plusieurs jours sur le parking d’une plage près d’un grand hôtel, le directeur vient discuter avec nous. C’est un français, surpris de nous voir là, il nous dit que tous les hôtels sont fermés à cause du covid. Le lendemain, il nous apporte une bonne bouteille de vin.

On campe sur une plage, la journée une voiture de  police fait des rondes. On nous salue et on nous demande si tout va bien. On fait la connaissance de kite surfeurs français qui travaillent et habitent à Muscate. Ils nous disent que pour l’instant ça va, mais bientôt on ne pourra plus tenir dans le camion à cause de la chaleur. 48°.
C’est vrai qu’il  fait de plus en plus chaud. Une semaine plus tard, un de leurs amis Omanais qui s’appelle Jamal,  a la gentillesse de nous proposer un logement au premier étage de sa villa, avec la climatisation et une belle terrasse. On s’habitue à notre nouvelle vie. En fin de journée, balade sur le plage et baignade.


Au mois d’Août, Jamel nous invite à aller passer quelques jours  avec ses copains, au bord d’un lac, en plein désert.  


. Jamal va chercher un Caterpillar.
Après 3 jours de frayeur, à batailler avec ses copains et des pakistanais venus nous aider, pour dégager le camion, il est sorti de son trou avec l'eau qui montait tous les jours un peu plus.
Il est enfin sur ses 4 roues.
Après le lavage du camion à la karcher, retour à muscate et au garage Man pour une bonne réparation. Et enfin chez Jamel, lui aussi content que notre mauvaise aventure se soit bien terminée.
On a passé le confinement tranquille, en bord de mer. On ne savait pas alors qu’on allait devoir y rester 6 mois. Mais on était bien .
Au mois d’Octobre, ouverture de l’aéroport.

On nous propose un endroit sécurisé pour le gardiennage du camion.
Retour en France en espérant qu’on pourra revenir très vite pour continuer notre voyage aux Emirats et Arabie saoudite.

Impressionnant l'ensablement !
Et la résidence forcée à OMAN pendant 6 mois également. Quelle aventure !

Bonjour,

Je découvre ce carnet sur ce pays que je ne connais pas, n'y ayant fait qu'une escale à l'aéroport il y a déjà quelques annees.
Le pays regorge de pays naturels magnifiques et visiblement d'une population très accueillante et agréable.

Pour les plages, y'avait il une tenue respecter pour les étrangers ou le maillot de bain était autorisé ?

Très sympa l'aide reçue pour desensabler le camion. L'esprit de solidarité est au rendez-vous !

bonjour
On est restés à Oman pendant 9 mois. On a été bloqués à cause du covid pendant 7 mois mais on a apprécié notre séjour dans ce pays. Pour me baigner je portais une brassière et un short un peu plus long, mais j'ai vu des touristes se baigner en maillot de bain.

30.12.21   le retour

A l’aéroport, on nous donne un visa pour 1 mois, qu’on pourra renouveler 1 fois. Contents d’être de retour à Oman, de récupérer notre camion et de revoir nos amis. On peut reprendre le cours de notre voyage. Mais pas comme on l’aurait voulu, aller aux Emirats.  On  nous apprend que que les frontières terrestres sont fermées. On est un peu déçus, mais on sait qu’on a encore beaucoup de choses à voir dans ce pays.
Direction le sud,
A quelques km de Mascate, Sandy beach.

On quitte Mascate et le bord de mer pour aller visiter la région montagneuse du pays.

 

Djebel al Jabal Akhdar, belle route goudronnée mais tellement raide que le 4X4 est obligatoire. La police est là pour le contrôle. On monte à 2035m d’altitude

Al sharaija village à flanc de montagne.

Rando sur le Plateau Sayd.  Un village et des cultures  en terrasses. Au printemps récolte de roses pour en faire de l’eau de roses.

Seeh, wadi bani habib Bivouac tranquille  en face à ce palais.

Niswa

Niswa Visite de la ville,
du musée,
du souk
Tanuf, ruines village abandonné

Al Hoota cave Sur le parking, on rencontre  Vincent sa femme et leur enfants. Une famille belge, qui comme nous est bloquée à Oman à cause du covid et avec qui on a correspondu sur internet.  Leur voyage à Oman se termine car leur camion va bientôt être rapatrié par bateau en Europe.


qu’on ne comprend pas très bien  le guide et que le ticket d’entrée est de 14€, j’ai apprécié la visite de cette grotte que j’ai trouvé magnifique ainsi que le musée.
La grotte est longue de 5 km, mais seuls 500 mètres se visitent. Visite guidée + musée 1H.  

Notre voyage  dans la région Montagneuse n’est pas terminé. Birkat Al sharaf
On passe à Alma, al ablah, al Ain Barut, wadi damm


On passe 2 jours à randonner, le matin un berger vient nous demander si on peut charger son téléphone

Vue sur le djebel Misht, mont du peigne et le site archéologique de Al Ayn


et un peu plus loin, celui de Bat. Des tombeaux collectifs datant de 2000 à 3000 AV JC  Inscrit au patrimoine mondial de l unesco. Entrée libre

Ibri visite du château, ruines de la vieille ville.



Rando dans le canyon après 1 H de marche dans le canyon, 1/2 tour, on ne peut pas continuer à cause des éboulis
Venir jusqu'ici n'a pas été facile, aussi on est trop contents d’avoir réussi cette aventure.
La découverte de cette belle région n’est pas terminée. On reprend une piste pour Hadash. Malgré la mauvaise piste et quelques passages étroits, on arrive dans ce petit village, loin de tout. Le soir les habitants viennent nous poser un tas de questions, étonnés qu’on ait choisi de venir depuis la France par la route, sans être financés et seulement pour le plaisir.
On a passé 3 mois dans la région montagneuse du pays.  On a pu découvrir ses magnifiques panoramas, ses petits villages isolés et faire de belles randonnées. Parfois obligés de faire 1/2 à cause des mauvaises conditions de circulation.

Avec tous ces kilomètres sur les pistes et les chemins de randonnée, on est un peu fatigués, aussi on va aller se reposer quelques jours au Wadi al abyad.  Après 2 km de piste on découvre un endroit magnifique avec piscines naturelles aux eaux bleues ou blanches à cause de la calcite.

Bivouac au bord d’ une rivière, pleine de poissons. Et cette bête. Est-ce que quelqu'un sait ce que c'est ? Rando et baignade.


On est le 16 avril et la température est déjà à 43°. Retour  sur la plage à Mascate. On est contents d’avoir pu passer l’hiver au chaud au sultanat, mais  comme on ne peut toujours pas sortir du pays par la route, on décide de laisser encore notre camion à Mascate et de prendre l’avion pour aller passer l’été en France, dans l’espoir qu’avec le vaccin, on pourra revenir et reprendre le cours de notre voyage.


Avant notre départ,  un omanais qui nous a bien aidé pendant notre séjour, nous invite dans sa magnifique maison.. C'est un pilote qui rêve de faire comme nous. Dans ce pays, les maisons sont très grandes, avec plusieurs cuisines, plusieurs, salons, Etc.
Test PCR négatif, on peut prendre l’avion.

Octobre 2022 Avec le visa pris sur internet + l’attestation de vaccination en anglais + le test PCR négatif, on peut embarquer dans l’avion.  Retour à Oman
On est contents de retrouver notre maison roulante, seul petit problème, les batteries solaires ne chargent plus, donc plus courant ni de frigo. Le magasin doit les commander aux Emirats. Après une semaine d’attente,  on peut reprendre le cours de notre voyage.



D’abord retour à wadi bani khali, un des endroits incontournables du pays dont on garde un très bon souvenir.  Une 1/2 heure de marche facile pour accéder aux magnifiques piscines naturelles à + ou - 30°. A éviter le vendredi et samedi, jours de congés des Omanais ou si un orage est annoncé car la baignade est interdite.
Il nous faut maintenant reprendre la route qui remonte sur Sohar puis direction la frontière des Emirats Arabes Unis.


https://www.instagram.com/p/CTMqOkxlDpQ/?utm_source=ig_web_copy_link&igshid=MzRlODBiNWFlZA==
illustration de mon carnet de voyage au sultanat d'Oman, le lien de mon compte Instagram

Arrivés en Oman, en janvier 2020, On a pu découvrir ce magnifique pays, grâce au guide Off road Oman qu’on nous a offert. Dans ce livre beaucoup d’itinéraires off road et chemins de randonnée, très précis avec les points GPS.
Ici,  pas de camping, mais  on a pu bivouaquer partout  
et faire les pleins d’eau sans problème, même au milieu de nulle part.
On a apprécié ces 15 mois passés dans ce pays, avec ses belles villes et leurs monuments inscrits au patrimoine de l’unesco, les canyons, les wadis, les montagnes, les déserts et les belles plages, avec dauphins et tortues de mer,  

mais aussi, malheureusement des détritus en tous genres, jetés par les habitants, ou rejetés par les marées, ainsi que des cadavres d’animaux marins.

Et ce qui est  appréciable quand on voyage, c’est les rencontres, l’accueil des Omanais, et bien sûr la sécurité, car jamais on ne s’est sentis en danger.

Notre dernier bivouac
Malgré le covid, on a apprécié notre séjour dans ce pays. C’est avec un petit pincement au coeur qu’on quitte le sultanat d’Oman, mais on est ravis de pouvoir partir à la découverte d’autres pays.
Kandjar : poignard omanais à lame courbe parfois en argent. De 100 à 1000€

Curieux toutes ces raies mortes échouées.
Curieux également ce pique-nique sommaire à côté de luxueuses berlines.
OMAN semble enchanter tous ceux qui y sont allés.
Carnet fort sympathique.