Venise and the Milk of Dreams
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Hiacinthe
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Le Forum du Voyage - voyages et tourisme individuel :: Voyages en Europe :: Voyager en Europe méditerranéenne : Italie, Grèce et îles de la Méditerranée :: Italie Sardaigne Sicile
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Re: Venise and the Milk of Dreams
@pifil a écrit:Concernant le palais Contarini del Bovolo il nous avait aussi bien plu en 2017 :
Entre chien et loup, c’est une bonne heure pour faire des photos, quand il y a un éclairage.
Mais la nuit, l’escalier est éteint.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Oui, j'avais trouvé intéressant cet éclairage. Pour info c'était en novembre vers 17h.
Re: Venise and the Milk of Dreams
@pifil a écrit:c'était en novembre
En 2017, j’étais allé à Venise en septembre, et j’y étais retourné pour finir la Biennale… en novembre !
En 2019, j’y suis allé trop tôt pour pouvoir la voir.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Jour 4-1-1 Les contenants
#expo #igiardini
Aujourd’hui, la seconde partie de la Biennale est au programme : I Giardini. Le concept est particulier et mérite quelques éclaircissements.
Ce sont bien des jardins (y a pas de piège quant au nom) dans lesquels ont été saupoudrés des pavillons (en dur) appartenant chacun à une nation différente. Voici le plan des 29 pavillons actuels :
On l’aura compris, le visiteur parcourt ces jardins, choisissant de rentrer dans tel ou tel pavillon, voire tous, comme bibi. Cependant, à quoi donc peuvent bien ressembler de tels pavillons ?
En fait, ils ont presque tous une architecture particulière. L’allure gréco-romaine du français contraste avec le parallélépipédique (!) pavillon autrichien. Le pavillon russe, curieusement fermé, est lui, d’un vert pomme très kitsch et surtout très russe. Leur taille aussi est éminemment variable, de confidentielle à imposante.
Mais commençons par le premier :
Euh… ça commence bien, ça, c’est le second (je m’aperçois que je n’ai pas pris tous les pavillons en photo, 20 sur 29 seulement). L’union fait la force, ça vous dit quelque chose ? Oui, bravo, c’est bien le pavillon belge, Belgio.
Il est sur la gauche d’une allée menant au majestueux pavillon central, dont le dédale est digne d’un musée.
En en sortant, difficile de ne pas tomber sur le pavillon finlandais, malgré sa taille.
Là, on est dans le confidentiel dont je parlais plus haut. Deux salles minuscules, abritant des oeuvres qui ne m’ont laissé aucun souvenir, fût-il numérique.
Juste à côté, un pavillon baroque…
Magyarország ! La Hongrie donc.
Une sensation bizarre m’envahit. J’ai l’impression de voir des vulves partout. Mais c’est une volonté délibérée de l’artiste, Zsofia Keresztes. C’est donc rassuré que je me dirige vers le snack tout proche…
Pris d’assaut, bien sûr. Il n’y a pas que l’esprit qui ait besoin de nourriture.
Après, il n’y a plus vraiment d’ordre, oubliée la linéarité de l’Arsenal. Chacun déambule au gré des allées, ou à l’ombre des arbres. Allez, un dernier exemple…
Délicieusement kitsch, non ? Terriblement slave ? L’intérieur s’est invité à l’extérieur, mais j’en parlerai bientôt.
Suivront les pavillons serbe, grec, britannique… et même sami.
Américain, uruguayen, vénézuélien…
Un vrai tour du monde !
La promenade dans les immuables contenants s’achève ici, le prochain article traitera des contenus… de 2022.
#expo #igiardini
Aujourd’hui, la seconde partie de la Biennale est au programme : I Giardini. Le concept est particulier et mérite quelques éclaircissements.
Ce sont bien des jardins (y a pas de piège quant au nom) dans lesquels ont été saupoudrés des pavillons (en dur) appartenant chacun à une nation différente. Voici le plan des 29 pavillons actuels :
On l’aura compris, le visiteur parcourt ces jardins, choisissant de rentrer dans tel ou tel pavillon, voire tous, comme bibi. Cependant, à quoi donc peuvent bien ressembler de tels pavillons ?
En fait, ils ont presque tous une architecture particulière. L’allure gréco-romaine du français contraste avec le parallélépipédique (!) pavillon autrichien. Le pavillon russe, curieusement fermé, est lui, d’un vert pomme très kitsch et surtout très russe. Leur taille aussi est éminemment variable, de confidentielle à imposante.
Mais commençons par le premier :
Euh… ça commence bien, ça, c’est le second (je m’aperçois que je n’ai pas pris tous les pavillons en photo, 20 sur 29 seulement). L’union fait la force, ça vous dit quelque chose ? Oui, bravo, c’est bien le pavillon belge, Belgio.
Il est sur la gauche d’une allée menant au majestueux pavillon central, dont le dédale est digne d’un musée.
En en sortant, difficile de ne pas tomber sur le pavillon finlandais, malgré sa taille.
Là, on est dans le confidentiel dont je parlais plus haut. Deux salles minuscules, abritant des oeuvres qui ne m’ont laissé aucun souvenir, fût-il numérique.
Juste à côté, un pavillon baroque…
Magyarország ! La Hongrie donc.
Une sensation bizarre m’envahit. J’ai l’impression de voir des vulves partout. Mais c’est une volonté délibérée de l’artiste, Zsofia Keresztes. C’est donc rassuré que je me dirige vers le snack tout proche…
Pris d’assaut, bien sûr. Il n’y a pas que l’esprit qui ait besoin de nourriture.
Après, il n’y a plus vraiment d’ordre, oubliée la linéarité de l’Arsenal. Chacun déambule au gré des allées, ou à l’ombre des arbres. Allez, un dernier exemple…
Délicieusement kitsch, non ? Terriblement slave ? L’intérieur s’est invité à l’extérieur, mais j’en parlerai bientôt.
Suivront les pavillons serbe, grec, britannique… et même sami.
Américain, uruguayen, vénézuélien…
Un vrai tour du monde !
La promenade dans les immuables contenants s’achève ici, le prochain article traitera des contenus… de 2022.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Hiacinthe apprécie ce message
Re: Venise and the Milk of Dreams
Jour 4-1-2 Les contenus
Quittons Venise provisoirement pour une plongée dans le monde étrange, parfois émouvant, parfois brutal, parfois incompréhensible (et parfois un peu de tout ça) de l’art contemporain. Il aurait été difficile de ne rien ressentir devant les oeuvres que je vais présenter mais leur classement n’est pas qualitatif, ni géographique ou alphabétique, c’est juste l’ordre dans lequel je les ai découvertes.
Estonie
Orchidelirium.
An Appetite for Abundance
Kristina Norman and Bita Razavi nous invitent dans la vie et l’oeuvre de la célèbre (là-bas) artiste estonienne Emilie Rosalie Saal (1871–1954), en reconstituant, à base de photos, vidéos, objets et archives, un univers immersif fait de colonialisme et de botanique.
Le pavillon Central
L’éléphant de Katharina Fritsch est grandeur nature, réalisé d’après un animal empaillé. Il se reflète à l’infini dans toutes les directions, grâce aux nombreux miroirs du hall, et s’impose d’entrée aux visiteurs, à l’instar de la sculpture monumentale de Simone Leigh à l’entrée de l’Arsenal.
Katharina Fritsch a obtenu un Lion d’or (une Lionne d’or ?) pour l’ensemble de son oeuvre.
L’oeuvre de Paula Rego est réaliste et torturée. Représentant la cruauté des femmes envers les enfants, autant que les cruautés faites aux femmes, son oeuvre choque et met mal à l’aise. Née à Lisbonne en 1935, l’artiste universellement reconnue vivait à Londres et est décédée pendant la Biennale, le 8 juin 2022, une semaine après ma visite…
Pologne
Re-enchanting the world
Malgorzata Mirga-Tas est d’origine rom. Son oeuvre est un immense patchwork de 12 panneaux qui emplissent tout l’intérieur du pavillon polonais, à la façon, apprend-on, du palais Schifanoia de Ferrare. Chaque panneau correspond à un mois calendaire et propose trois tableaux superposés. Ceux du haut représentent la migration des Roms, ceux du milieu, les relations existant entre la magie, l’astrologie et les femmes roms, tandis que ceux du bas (photo) décrivent le quotidien des roms en Pologne tel que l’a vécu l’artiste.
France
Les rêves n’ont pas de titre
Zineb Sedira, d’origine franco-algérienne, vit à Londres. Sa performance se présente sous la forme d’un décor de cinéma regroupant ses souvenirs. Là encore, photos, vidéos, objets et collages sont au programme, tandis que l’on est envoûté par la BO (Vladimir Cosma) du Bal d’Ettore Scola.
Mention spéciale attribuée par le jury de la Biennale.
Danemark
We walked the Earth
La maison de centaures d’Uffe Isolotto nous pétrifie d’entrée avec la découverte d’un homme-centaure pendu. Dans une pièce voisine, la mise bas (ou doit-on dire accouchement ?) de sa compagne apporterait-elle une touche d’espoir ?
L’hyperréalisme, un art troublant…
USA
Sphinx
Simone Leigh est la grande gagnante de la Biennale. Outre sa monumentale sculpture (Brick House) qui ouvre l’exposition de l’Arsenal, que j’ai présentée plus haut, elle investit le pavillon des USA avec Sovereignty, hommage aux femmes noires fait par l’une des leurs,.
Lion d’or 2022 de la meilleure réalisation, attribué également à l’afro-caribéenne Sonia Boyce qui rend hommage dans le pavillon britannique, à cinq chanteuses black (dont Tanita Tikaram).
Pour le reste, il y a à boire et à manger.
Par exemple, le catalan Ignasi Aballí a réalisé que le pavillon espagnol n’était pas tout à fait parallèle au pavillon voisin, celui de la Belgique. Il l’a donc reconstitué à l’intérieur en le tournant de 10°. Nom de l’oeuvre ? Corrección, évidemment.
Quittons Venise provisoirement pour une plongée dans le monde étrange, parfois émouvant, parfois brutal, parfois incompréhensible (et parfois un peu de tout ça) de l’art contemporain. Il aurait été difficile de ne rien ressentir devant les oeuvres que je vais présenter mais leur classement n’est pas qualitatif, ni géographique ou alphabétique, c’est juste l’ordre dans lequel je les ai découvertes.
Estonie
Orchidelirium.
An Appetite for Abundance
Kristina Norman and Bita Razavi nous invitent dans la vie et l’oeuvre de la célèbre (là-bas) artiste estonienne Emilie Rosalie Saal (1871–1954), en reconstituant, à base de photos, vidéos, objets et archives, un univers immersif fait de colonialisme et de botanique.
Le pavillon Central
L’éléphant de Katharina Fritsch est grandeur nature, réalisé d’après un animal empaillé. Il se reflète à l’infini dans toutes les directions, grâce aux nombreux miroirs du hall, et s’impose d’entrée aux visiteurs, à l’instar de la sculpture monumentale de Simone Leigh à l’entrée de l’Arsenal.
Katharina Fritsch a obtenu un Lion d’or (une Lionne d’or ?) pour l’ensemble de son oeuvre.
L’oeuvre de Paula Rego est réaliste et torturée. Représentant la cruauté des femmes envers les enfants, autant que les cruautés faites aux femmes, son oeuvre choque et met mal à l’aise. Née à Lisbonne en 1935, l’artiste universellement reconnue vivait à Londres et est décédée pendant la Biennale, le 8 juin 2022, une semaine après ma visite…
Pologne
Re-enchanting the world
Malgorzata Mirga-Tas est d’origine rom. Son oeuvre est un immense patchwork de 12 panneaux qui emplissent tout l’intérieur du pavillon polonais, à la façon, apprend-on, du palais Schifanoia de Ferrare. Chaque panneau correspond à un mois calendaire et propose trois tableaux superposés. Ceux du haut représentent la migration des Roms, ceux du milieu, les relations existant entre la magie, l’astrologie et les femmes roms, tandis que ceux du bas (photo) décrivent le quotidien des roms en Pologne tel que l’a vécu l’artiste.
France
Les rêves n’ont pas de titre
Zineb Sedira, d’origine franco-algérienne, vit à Londres. Sa performance se présente sous la forme d’un décor de cinéma regroupant ses souvenirs. Là encore, photos, vidéos, objets et collages sont au programme, tandis que l’on est envoûté par la BO (Vladimir Cosma) du Bal d’Ettore Scola.
Mention spéciale attribuée par le jury de la Biennale.
Danemark
We walked the Earth
La maison de centaures d’Uffe Isolotto nous pétrifie d’entrée avec la découverte d’un homme-centaure pendu. Dans une pièce voisine, la mise bas (ou doit-on dire accouchement ?) de sa compagne apporterait-elle une touche d’espoir ?
L’hyperréalisme, un art troublant…
USA
Sphinx
Simone Leigh est la grande gagnante de la Biennale. Outre sa monumentale sculpture (Brick House) qui ouvre l’exposition de l’Arsenal, que j’ai présentée plus haut, elle investit le pavillon des USA avec Sovereignty, hommage aux femmes noires fait par l’une des leurs,.
Lion d’or 2022 de la meilleure réalisation, attribué également à l’afro-caribéenne Sonia Boyce qui rend hommage dans le pavillon britannique, à cinq chanteuses black (dont Tanita Tikaram).
Pour le reste, il y a à boire et à manger.
Par exemple, le catalan Ignasi Aballí a réalisé que le pavillon espagnol n’était pas tout à fait parallèle au pavillon voisin, celui de la Belgique. Il l’a donc reconstitué à l’intérieur en le tournant de 10°. Nom de l’oeuvre ? Corrección, évidemment.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Je te remercie beaucoup pour toutes ces explications
Je vais revoir ces oeuvres avec plaisir sur mon écran d'ordinateur quand je serai de retour chez moi
Tant que j'y pense, je me permets de t'indiquer une erreur de frappe. Il s'agit de la date de décès de Paula Rego : c'est le 8 juin 2022.
Bonne nuit !
Christine
Je vais revoir ces oeuvres avec plaisir sur mon écran d'ordinateur quand je serai de retour chez moi
Tant que j'y pense, je me permets de t'indiquer une erreur de frappe. Il s'agit de la date de décès de Paula Rego : c'est le 8 juin 2022.
Bonne nuit !
Christine
Dernière édition par Hiacinthe le Sam 9 Juil 2022 - 16:00, édité 1 fois
Hiacinthe- responsable de rubrique
- Messages : 1147
Date d'inscription : 09/12/2021
Re: Venise and the Milk of Dreams
@hiacinthe a écrit:Tant que j'y pense, je me permets de t'indiquer une erreur de frappe. Il s'agit de la date de décès de Paula Rigo : c'est le 8 juin 2022.
Oops… Merci H.
Oui, une semaine après ma visite, c’est plutôt en 2022 ^^
Si un modérateur qui passerait par là pouvait corriger, merci.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Pour les personnes intéressées :
Baby 3.0 est un symbole de renaissance, un hommage au mystère de la vie et marque une nouvelle étape dans la carrière artistique de Lorenzo Quinn sans abandonner les thèmes et les demandes qui lui sont les plus chers, dont la sauvegarde et le destin de la cité lagunaire, à laquelle a toujours étroitement liées, et les valeurs les plus profondes de notre humanité. Les travaux d'installation se termineront le 13, tandis que le ruban des travaux sera coupé le lendemain.
Les travaux ont commencé ce matin à Ca' Corner, siège de la Metropolitan City, pour l'installation de Baby 3.0, une nouvelle œuvre monumentale de l'artiste italo-américain Lorenzo Quinn, qui restera exposée jusqu'au 31 octobre dans le jardin conçu par Sansovino. En 2017, le sculpteur, fils d'Anthony Quinn, a émerveillé le monde entier avec deux mains gigantesques d'environ 9 mètres de haut, positionnées pour soutenir la façade de l'hôtel Ca' Sagredo dans le Grand Canal.
L'emplacement de la sculpture est le résultat d'un appel d'offres lancé par la ville métropolitaine en mars dernier, auquel l'atelier de Quinn a participé et a remporté, qui a obtenu l'emplacement du jardin du Palazzo Corner della Ca' Granda, déjà utilisé à plusieurs reprises pour le exposition des oeuvres de la Biennale Internationale d'Art. L'appel d'offres avait une base d'enchères de 15 000 euros par mois, le studio de l'artiste italo-américain a sécurisé l'emplacement avec une offre plus élevée, égale à 20 000 euros par mois, pour un total de 80 000 euros. La somme qui entrera dans les caisses de la métropole servira aux frais d'entretien de Ca' Corner, dont l'organisme est propriétaire.
Baby 3.0 est un symbole de renaissance, un hommage au mystère de la vie et marque une nouvelle étape dans la carrière artistique de Lorenzo Quinn sans abandonner les thèmes et les demandes qui lui sont les plus chers, dont la sauvegarde et le destin de la cité lagunaire, à laquelle a toujours étroitement liées, et les valeurs les plus profondes de notre humanité. Les travaux d'installation se termineront le 13, tandis que le ruban des travaux sera coupé le lendemain.
https://www.veneziatoday.it/attualita/nuova-opera-lorenzo-quinn-trasporto-venezia.html
Geneve1203- Messages : 359
Date d'inscription : 11/12/2021
Re: Venise and the Milk of Dreams
@brigitte42,
Puisque tu passes par là, peux-tu remplacer 1922 par 2022 dans ce message, au sujet de Paula Rego ?
Une date de décès antérieure à la date de naissance, ça fait désordre…
Merci.
C’est le problème de la Biennale. Toutes les oeuvres ne restent pas du premier au dernier jour. Faut y retourner plusieurs fois.
D’ailleurs, je me demande si…
C’était magistral. Chaque fois que je les voyais, j’avais du mal à m’empêcher de les prendre en photo.
Puisque tu passes par là, peux-tu remplacer 1922 par 2022 dans ce message, au sujet de Paula Rego ?
Une date de décès antérieure à la date de naissance, ça fait désordre…
Merci.
@brigitte42 a écrit:Les travaux ont commencé ce matin à Ca' Corner, siège de la Metropolitan City, pour l'installation de Baby 3.0, une nouvelle œuvre monumentale de l'artiste italo-américain Lorenzo Quinn, qui restera exposée jusqu'au 31 octobre dans le jardin conçu par Sansovino
C’est le problème de la Biennale. Toutes les oeuvres ne restent pas du premier au dernier jour. Faut y retourner plusieurs fois.
D’ailleurs, je me demande si…
En 2017, le sculpteur, fils d'Anthony Quinn, a émerveillé le monde entier avec deux mains gigantesques d'environ 9 mètres de haut, positionnées pour soutenir la façade de l'hôtel Ca' Sagredo dans le Grand Canal.
C’était magistral. Chaque fois que je les voyais, j’avais du mal à m’empêcher de les prendre en photo.
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Paula Rogo : c'est fait !
Brigitte42- modérateur
- Messages : 1227
Date d'inscription : 15/12/2021
Re: Venise and the Milk of Dreams
Pareil !Masterpo a écrit:C’était magistral. Chaque fois que je les voyais, j’avais du mal à m’empêcher de les prendre en photo.
Re: Venise and the Milk of Dreams
@brigitte42 a écrit:c'est fait !
Cette année, il y a déjà une oeuvre de Lorenzo Quinn présente à la Biennale.
Building Bridges…
Photo prise du vaporetto, je n’ai pas su m’en approcher plus près.
Du coup, j’ai regardé sa bio et on peut en retirer trois informations majeures (enfin, majeures, tout est relatif)
- C’est un clone de son père
- Sa mère et sa femme sont vénitiennes
- Harley Quinn n’est pas sa soeur
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Jour 4-2
#food
Midi tapait quand je suis entré dans I Giardini. Il est 18h20 quand j’en sors.
Le record de l’Arsenal est pulvérisé.
Juste en face de la sortie, se trouve le Café Paradiso.
Mais qui y vois-je ? Non, ce n’est pas possible… Carole !
Enfin, ce n’est pas vraiment Carole, mais une nageuse de Carole #Feuerman.
Y a pas, c’est son année, c’est sa ville.
(et c’est loin d’être fini…)
Vous vous rappelez certainement le restaurant que je n’avais pas réussi à tester lors de mes trois visites antérieures, et pour lequel j’avais dû réserver ? Non ? Pas grave, mais le grand soir est arrivé !
Le foie de veau est la spécialité incontestée de Venise, mais ce soir, ce sera un menu imposé dont le thème change chaque jour (avec un prix également imposé). Pas sûr en revanche que pour un même thème, il y ait beaucoup de différence. Je vous dirai ça la prochaine fois.
Et le thème du jour est… poisson !
5 hors d’oeuvre dont moules farcies et poulpe, accompagnés de l’incontournable polenta.
Suivent deux plats, lasagnes aux fruits de mer, et friture crevettes / calamars. On peut choisir (et c’est heureux, car la barque commence à être bien pleine) la taille du dernier plat.
Pour deux… mais petite portion (ouf !).
Comme dessert, crème au mascarpone avec macarons.
Boisson à volonté, semble-t-il. Pas vraiment testé, j’ai su résister à la tentation.
Une soirée riche en saveurs (et en graisses) diverses.
La nuit est désormais tombée sur Cannaregio.
Et c’est plus que repu que j’opère mon retour par le ghetto, premier du nom, encore très animé à cette heure tardive. Une jounée particulière, et bien remplie…
#food
Midi tapait quand je suis entré dans I Giardini. Il est 18h20 quand j’en sors.
Le record de l’Arsenal est pulvérisé.
Juste en face de la sortie, se trouve le Café Paradiso.
Mais qui y vois-je ? Non, ce n’est pas possible… Carole !
Enfin, ce n’est pas vraiment Carole, mais une nageuse de Carole #Feuerman.
Y a pas, c’est son année, c’est sa ville.
(et c’est loin d’être fini…)
Vous vous rappelez certainement le restaurant que je n’avais pas réussi à tester lors de mes trois visites antérieures, et pour lequel j’avais dû réserver ? Non ? Pas grave, mais le grand soir est arrivé !
Le foie de veau est la spécialité incontestée de Venise, mais ce soir, ce sera un menu imposé dont le thème change chaque jour (avec un prix également imposé). Pas sûr en revanche que pour un même thème, il y ait beaucoup de différence. Je vous dirai ça la prochaine fois.
Et le thème du jour est… poisson !
5 hors d’oeuvre dont moules farcies et poulpe, accompagnés de l’incontournable polenta.
Suivent deux plats, lasagnes aux fruits de mer, et friture crevettes / calamars. On peut choisir (et c’est heureux, car la barque commence à être bien pleine) la taille du dernier plat.
Pour deux… mais petite portion (ouf !).
Comme dessert, crème au mascarpone avec macarons.
Boisson à volonté, semble-t-il. Pas vraiment testé, j’ai su résister à la tentation.
Une soirée riche en saveurs (et en graisses) diverses.
La nuit est désormais tombée sur Cannaregio.
Et c’est plus que repu que j’opère mon retour par le ghetto, premier du nom, encore très animé à cette heure tardive. Une jounée particulière, et bien remplie…
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Re: Venise and the Milk of Dreams
Les "mode nuit" des APN et smartphones récents font des miracles. Et quand le cadrage est parfait ça donne des photos superbes. On a l'impression d'y être (à Venise). Bravo !
Re: Venise and the Milk of Dreams
@pifil a écrit:Les "mode nuit" des APN et smartphones récents font des miracles. Et quand le cadrage est parfait ça donne des photos superbes. On a l'impression d'y être (à Venise). Bravo !
Quand je suis passé du D750 à l’iphone 13 pro (par la force des choses), je craignais le pire. Mais il n’y a quasiment que des avantages, et les photos de nuit sont effectivement faciles à réaliser.
Et on peut même téléphoner avec…
Masterpo- Messages : 1199
Date d'inscription : 11/03/2022
Page 2 sur 2 • 1, 2
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