Balade Perigourdine

Comme je suis en train de reprendre mes notes de cette balade Perigourdine j'en profite pour la partager...
C'était en 2002, je venais de prendre ma retraite en 2001 et d'acheter ma troisième tortue (une cellule amovible Clemenson sur un pick-up mitsubishi L200).
On n'avait rien prévu mais en raison du mauvais temps dans le sud où nous étions











 
Puis nous partons en direction de Prudhomat où se trouve le château de Castelnau le Bretenoux,

Nous arrivons vers 18 H 30 à Sarlat,

Tour de ville pour repérer les endroits pour dormir : il y a une aire avec vidange pour les camping-car près du cimetière (place Flandre-Dunkerque).

Nous nous garons sur la place du 14 juillet (à l’entrée de la vieille ville : une dizaine de places mais sans doute complet en saison !).
Le syndicat d’initiative est encore ouvert et nous récupérons un plan de la ville avec indication du circuit à faire à pied.
Nous commençons ce circuit que nous terminerons de nuit et sous la pluie…
Par la maison natale (renaissance italienne) d’Etienne de la Boétie (elle abrite actuellement la chambre de commerce)
Le circuit piéton est absolument à faire (compter entre 1 et 2H30 selon le niveau de détail que l’on veut voir)
 















 
 
Vers 20 H 00 nous partons à la recherche ‘un restaurant : il n’y a que l’embarras du choix.
Nous choisissons le restaurant du commerce et pour 2 personnes (53 euros 30) nous avons :
Apéritif aux noix,
Duo de foie gras (foie mi-cuit et bloc)
Cuisse de canard confit avec pommes de terre salardaises,
Fromage,
Gâteau aux noix avec crème anglaise, le tout arrosé d’un excellent vin de cahors
Café et pour moi un petit verrcamping-car pour aller nous garer à l’endroit repéré auparavant, mais 4 véhicules sont déjà installés et même s’il reste beaucoup de place nous n’aimons pas trop ce genre de concentration et nous allons nous garer quelques 200 m plus loin sur le parking de la place aux noix : il y a une centaine de places et pas un seul véhicule à part notre tortue.

Nous révisons notre circuit pour demain

Jeudi 28 février 2002
Sur le parking, pas un bruit sauf celui de la pluie qui tombe et nous réveille dès 6 heure du matin : nous nous calfeutrons sous la couette et attendons que 8 heures sonnent pour nous lever. Il ne pleut plus mais le temps est gris.

La toilette terminée et le petit déjeuner absorbé, nous voici en route pour Domme. 2 routes mènent à Domme dont une est indiquée spécialement pour les cars et camping-car, c’est celle-ci que nous avons prise ( D46 puis D46E ) elle nous amène à un grand parking (le pradal gratuit) où l’on peut se garer sans problème, il n’est pas encore 9 H. Nous sommes à 400 m de la porte des tours que nous atteignons à pieds (route interdite aux CC, ça se comprend car on ne pourrais se garer dans le village)

Cette bastide est vraiment magnifique, hélas en cette période de l’année nous ne pourrons visiter les grottes qui n’ouvrent que l’après-midi, mais au moins ce ne sont pas les touristes qui vont nous gêner dans notre visite car nous sommes seuls et même les autochtones ne sont pas nombreux dehors. Bien sûr nous ne pourrons avoir de visites guidée mais nous reviendrons car il y a beaucoup d’autres choses à voir
Porte des tours

                                                  

La grande rue 



Place de la Rode


 Rue Porte Delbos 


La Halle et l’entrée des grottes  


L’église ND de l’Assomption 




Vue du belvédère de la Barre




Détails de la porte des tours




Nous reprenons la route et nous sommes à la Roque Gageac vers 10 H (les vieux comme nous se souviennent encore de cette nuit de 1957 où une partie de la falaise s’est détachée et écrasée sur les maisons situées en contre bas 






Nous arrivons ensuite au château de Castelnaud (km 416 il est 10 H 20) prix 6,4 euros.

On va continuer un peu :
Castelnaud :

Nous arrivons au parking payant (2 euros la journée, nous aurions pu nous arrêter au parking des cars un peu plus bas, il est gratuit et n’est pas plus loin du château à pieds, mais… il faut bien que nous participions financièrement)

Le château est très bien arrangé et le musée de la guerre au moyen-âge qu’il abrite est très instructif (dans le groupe de jeunes adolescents que nous avons croisé, accompagné de leurs enseignants et d’un guide tout le monde semblait fasciné ! c’est assez rare de nos jours pour le noter)




















Passage devant le château de Beynac-et-Cazenac :


Et maintenant direction Belvès

Arrivée à Cadoin ( km 481, il est 14 H 30), nous visitons l’abbaye (prix : 4,60 euros).

Elle est splendide et nous sommes seuls dans ce cloître avec un petit guide explicatif prêté à l’entrée car à cette époque la visite n’est pas guidée.

Pénétrer aussi dans la cour de l’auberge de jeunesse qui jouxte l’abbaye et dont les chambres donnent sur le cloître.
















Nous partons trop rapidement mais nous avons encore beaucoup à voir… 
Quelques instants d’arrêt au village bastide de Molières, pour les Camping-cars, avancer jusqu’au porche (H < 2,5m et tourner à gauche juste devant pour accéder au parking).




à 15 H 15 nous sommes à Saint-Avit-Sénieur (km 492), les batteries de l’appareil photo sont à plat et donc je n'ai que très peu de photos :







Direction Beaumont où nous achetons les 4 piles R6 qui alimentent l'appareil photo...

Nous arrivons ensuite à Beaumont (km 500, il est 16H30) nous trouvons une place sur le petit parking en face de l’abbatiale, mais nous découvrons ensuite un parking plus grand derrière l’abbatiale en prenant la rue de l’église.
Nous parcourons très rapidement cette bastide : il pleuvine un peu mais sans avoir le charme de Monpazier, ce bourg mérite que l’on s’y arrête plus longuement7
   

  



Nous partons ensuite vers le Cingle de Trémolat (km 527, il est 17 H 15, un grand parking avec tout prêt un hôtel fermé, on pourrait facilement y passer la nuit au calme du moins en cette saison) : au pied des blanches falaises, la Dordogne décrit une vaste courbe, entourant ainsi toute une mosaïque de cultures   


Direction Les Eysies, nous passons par Campagne, charmant petit hameau au croisement des D38 et D706 et ne pouvons nous empêcher quelques photos :
Le château, l'église et le lavoir :
4





Tient on voit même notre tortue en haut à gauche de cette dernière photo...
Et maintenant direction les Eyzies où nous passeront la nuit.

Nous arrivons ensuite aux Eyzies (km 553, il est 18 H 10)

Installation au parking de la Vézére  (payant en saison, mais apparemment gratuit en ce moment).

Nous prenons immédiatement la direction de l’abri Pataud qui est un remarquable gisement préhistorique et qui est indiqué dans le guide vert (dernière édition) ouvert de janvier à août jusqu’à 19 H, nous avons la désagréable surprise de le trouver fermé, une pancarte indique pour février visites : 10 h – 12 h et 14 h – 17 h, nous décidons de dîner puis , dormir et d’être là dès 10 H demain matin.

Dans le village tout est fermé,  un seul restaurant brasserie est ouvert : celui sur la place de la mairie :

Au menu : apéritif vin de noix, bloc de foie gras, magret sauce cep, pommes salardaises, tarte, café et bouteille de bergerac pour 47 euros 90, c’était bon et très correct.

Nous passons une excellente nuit sur ce parking très calme troublé uniquement par le passage de 2 où 3 michelines sur la voie ferrée toute proche.
vendredi 1^er mars 2002
Lever à 9 H, il pleuvine et à 9 H 55 nous sommes devant l’entrée de l’abri Pataud, une autre personne attend aussi l’ouverture, le temps passe, à 10 H 10 ce n’est toujours pas ouvert, nous téléphonons au N° indiqué sur la porte d’entrée et l’on nous indique qu’il n’y a pas de visite les lundi, vendredi, samedi et dimanche !!! ;

effectivement en regardant mieux sur le panneau à l’entrée : un petit entrefilet indique ces restrictions : bravo pour le tourisme.

Très déçus nous partons en direction de la grotte de fond de Gaume indiquée sur le guide vert ouverte à partir de 10 H sauf le mercredi. Nous y sommes vers 10 H 30 pour voir une magnifique pancarte à l’entrée du site «  fermé pour cause de travaux, mais grotte de Combarelle ouverte ». nous reprenons la route un peu plus déçu vers la grotte de Combarelle, d’où nous nous faisons « jeter » comme des malpropres car nous n’avons pas de ticket d’entrée : il fallait les acheter à la grotte de fond de Gaume. Nous avons beau expliquer qu’un panneau indiquait « fermé pour cause de travaux » la « charmante » personne de combarelle nous dit que ce n’est pas son problème et que malgré la fermeture de fond de gaume un guichet y délivrait quand même les billets.. Bien sûr elle refuse toute possibilité de visiter « sa » grotte, même en lui en payant le prix des tickets d’entrée. Ecœurés par tant de je m’en foutisme et d’irrespect de ces cochons de payants de touristes, nous quittons les Eyzies. Nous y reviendrons sans doute un jour quand nous aurons avalé l’amère pilule et protesté par écrit aux différents organismes concernés car les sites doivent être magnifiques
Donc carton rouge pour l’accueil et les sites fermés des Eyzies,
 
Nous décidons d’aller vers la Roque Saint Christophe en espérant le site ouvert (il est 10 H 45 et le compteur indique 569 km).


à suivre dès que possible

Je suis depuis le début cette balade sur les terres de naissance …

Les Eyzies …le tourisme de masse , encore le tourisme de masse , cherchez ce qui arrive lorsqu’on oublie ces racines pour servir le dieu fric …..

J’attend la fin , merci pour cette façon d’avoir mis en avant cette région .

Je reprend après une petite pause...

Quelques photos quand même des Eyzies :



Nous décidons d’aller vers la Roque Saint Christophe en espérant le site ouvert (il est 10 H 45 et le compteur indique 569 km).

Au passage, élevage d'oies à Tursac :

Le site de la Roque Saint Christopheest effectivement ouvert, il y a plusieurs grands parkings et des tables de pique-nique.
L’accueil est excellent, nous vidons un peu notre cœur sur l’accueil des Eyzies et l’on s’entend répondre que nous sommes loin d’être les premiers à s’en plaindre : « c’est un site étatisé et tout le monde s’en fout » !!! dont acte.

On nous remet un petit guide plastifié pour effectuer la visite de ce très beau site troglodyte occupé à la fois au paléolithique et au moyen-âge.

Pour nous ce site mériterait que le guide vert en parle un peu plus.

Coffre fort percé dans le roc, la porte (en bois) n’existe plus bien sûr :



Le grand abri de 400 m connu mondialement sous le nom de boulevard de l’humanité :




Les cuisines au 3^ème étage de la falaise :




Treuil à tambour :


Reconstitution d’après archives :




Scène préhistorique de l’ours des cavernes, hauteur 2,4 m aux prises avec l’homme Moustérien, sa compagne et l’enfant :




Nous arrivons ensuite à Saint Léon de Vézère (km 573, il est 11 H 40)

Plusieurs petits parkings à proximité (200m) du centre du village

Visite de l’église qui est une des plus belles églises romane du Périgord et des 2 petits châteaux de Clérans et de la Salle :4












A suivre

Il est un peu plus de 18 H et nous partons après l’enchantement de cette visite (je prendrais le temps de relire les essais cet été) en direction de Sainte-Foy la Grande,
Parking devant le super U (km 741, il est 18 H 45)
Quelques achats et nous partons à la recherche d’un restaurant : ça ne courre pas les rues et finalement notre « choix » se porte vers le restaurant de la Tour 89, rue de la république :
Apéritifs (vin de châtaigne et à base d’armagnac), salade périgourdine avec foie gras, pavé de bœuf avec médaillon et sauce foie gras + garniture, fromages, dessert, café et bouteille de Ste Foy 98 château l’enclos pour 71, 60 euros (c’était très bon, cadre agréable avec musique d’ambiance des années 60 – 80 discrète).
Le parking où nous avons garé notre CC, ne nous semblant pas très adapté pour passer la nuit, nous partons en direction d’Eymet où nous arrivons à 22 H 45 (km 773). Un parking tout à fait adapté nous tend les bras place de la république (juste derrière l’église) et de plus il y a des toilettes publiques. Nous nous installons pour la nuit.
 

Samedi 2 mars 2002

Nous nous levons vers 8 H et à 8 H 45 en route pour une petite visite à pied de la ville d’Eymet :










Cette bastide d’Eymet a conservé ses arcades et de belles maisons anciennes à façades caractéristiques pierres et bois
Au centre de la place, une fontaine du 17ème siècle.
L’église derrière laquelle nous sommes garés a succédé à un premier édifice bénédictin plus ancien.
Du château, c’est le donjon avec une tour du 14 ème siècle qui subsiste. Le musée fermé est situé dans ce donjon.
L’ensemble est très harmonieux et comme nous avons un petit rayon de soleil par moment…

Vers 9 H 45, en route pour le Château de Monbazillac, en route nous faisons une mini halte devant le château de Bridoire : dommage il n’est pas visitable et tombe en ruine ses propriétaires, une société sénégalaise ? ne semblent pas s’en soucier.

Une association s’est créée et se bat pour essayer de sauver ce magnifique édifice qui outre les dommages du temps subit ceux du vandalisme et de squatters.



Nous visitons successivement :
Au rez de chaussée :

 Sur le port, les gabares qui permettent les visites fluviales en saison




 
Puis le musée d'intérêt national du tabac de bergerac (prix 3,5 euros)
Le Musée d' Intérêt National du Tabac, créé en 1950 par la Direc­tion des Musées de FRANCE, a été réorganisé et installé selon de nouvelles normes muséographiques dans un bâtiment rénové par la Ville de BERGERAC en 1982, appelé "Maison PEYRAREDE". Cet hôtel du XVlIème siècle dont la façade principale est située rue de l'Ancien Pont, témoigne du passage de la Renaissance au Classicisme : c'est un des fleurons du patrimoine architectural bergeracois.

Le nouveau Musée a été inauguré en JANVIER 1983 et permet depuis une politique entièrement différente. équipé de laboratoires de photographie et de restauration ainsi que d'un secrétariat administratif, il s'est en outre informatisé...









A suivre

Il est 15 H 30 lorsque nous repartons en direction de Périgueux, après cette visite effectuée sous le soleil : ça nous change de ces derniers jours.
Arrivée à Périgueux (km 862, il est 16 H 10) nous sommes dans  le Haut Périgord et le Périgord vert : la pluie s’est remise à tomber, nous nous garons sur le parking des quais, le long de l’Isle à droite du pont Saint Georges en venant de Bergerac, il y a une aire de vidange pour camping-car, juste derrière le bâtiment du conseil général (passage sous le pont : H < 3,3 m).
La pluie redouble et bientôt c’est l’orage avec coup de tonnerre, éclairs… Nous prenons un café en attendant que cela passe.
Direction le syndicat d’initiative à 300 m de là sur la place Francheville. Parmi toute une doc., le plan de la vieille ville avec l’indication d’un circuit pédestre à faire en 2 heures environ. Nous profitons d’une petite accalmie de la météo pour commencer ce circuit :
La tour Malataguerre,

Rue Séguier :

Hôtel d’Abzac de Ladouze :

Maison des dames de la foi :

Hôtel Gilles Lagrange

Place Saint Louis :

Place de la vertu :

Rue Port de Graule :

Le vieux moulin :

perspective sur la cathédrale Saint Front

intérieur cathédrale Saint Front

La maison des consuls :



A noter que notre visite a été interrompue plusieurs fois pour cause de pluie trop forte, mais nous avons quand même réussi à pratiquement tout voir…

Notre Camping-car sur le parking : à gauche passage limité à 3,3 m  vers l’aire de vidange (on peut aussi y accéder par l’autre coté (sans passer sous le pont)
                                 

La visite achevée, nous partons faire le tour des restaus (liste donnée à l’office de tourisme)…
La plupart sont fermés et ceux qui sont ouverts ne trouvent pas grâce auprès de nous.
Finalement nous tombons sur un restau non répertorié : « la pataterie » : c’est sympa et c’est bon et copieux :
Apéro (kir + cocktail), plateau du sud-ouest comprenant : une pomme de terre en pelure énorme d’au moins 250 g accompagnée d’une cuisse de canard confite, de sauce aux champignons, d’une salade périgourdine, d’une assiette de 3 fromage,s d’un dessert + café et une excellente bouteille de Bergerac pour 48,17 euros : ce sera le meilleur rapport qualité/prix des 5 restaus que nous ferons dans ce périple.
La nuit est depuis longtemps tombée lorsque nous revenons au Camping-car, il pleut toujours et cette pluie accompagnera notre sommeil une grande partie de la nuit.

Dimanche 3 mars 2002

Nous nous levons de bonne heure sous un soleil resplendissant, les traces de pluie commencent à s’effacer sur le parking et dès le petit-déjeuner pris nous partons en direction d’Aubeterre sur Dronne, nous ne visiterons pas la partie Gallo-Romaine de Périgueux par manque de temps : il faut hélas faire des choix cornéliens.
Vers 9 H 30 nous arrivons à d’Aubeterre sur Dronne (km 920), grand parking bien situé devant le syndicat d’initiative hélas fermé exceptionnellement ce jour.
En route pour la visite : église monolithique prix 3, 5 euros (+ brochure 1 euro)
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Nous continuons la visite par l’église St Jacques avec en particulier l’archivolte de la façade romane au décor d’inspiration arabe et finement sculpté








Vers 11 H 15, nous repartons en direction de Bourdeilles (km 968) où nous arrivons vers midi.

Vers 11 H 15, nous repartons en direction de Bourdeilles (km 968) où nous arrivons vers midi. Nous nous garons sur le petit parking derrière l’église, l’autre grand parking situé à proximité étant en pente et comme il n’y a personne…
Avant de déjeuner nous allons faire une petite balade de reconnaissance à pied, ce petit bourg dont le château domine la Dronne et son ancien moulin seigneurial du 17 ème S nous semble magnifique surtout sous le soleil…
Déjeuner (nous avons acheté des huîtres ce matin à Aubeterre et  comme c’est un de nos péchés mignons : nous dégustons).
A 14 H nous faisons l’ouverture de la visite du château prix 4,6 euros ; la guide à l’entrée ne peut nous accompagner car elle sert aussi de portière à cette époque de l’année. Néanmoins nous discutons un bon moment avec elle et évoquons la fête du camping-car début mai. Elle connaît, d’autant qu’elle a fait (lorsqu’elle était plus jeune) avec ses parents et un camping-car aménagé par leurs soins le tour de la France. Elle nous donne beaucoup d’indications et partons pour la visite :
2 parties :  médiévale (fin 13^ème S) avec son donjon surplombant de très haut le bourg et la Dronne en dessous une grande salle sert de corps de logis actuellement utilisée pour des expositions.
Renaissance (16^ème S) avec une remarquable collection de mobiliers
Quelques vues de l’extérieur, le moulin seigneurial pris du haut du donjon, mobilier intérieur, sculptures, jardin et détails extérieurs du château










    










    










Tout cela est vraiment très beau et ceux qui seront là au début du printemps vont se régaler.
 
Nous repartons enchantés et direction Puyguilheim

Brantôme : Nous y arrivons vers 18 H 30 (km 1012) ; grand choix de parkings, nous choisissons celui situé en sortie de ville devant le restaurant « au fil du temps » chemin du vert-Galant, 2 camping-cars y sont déjà garés.
Balade le soir dans la ville ; c’est très beau mais il n’y a pratiquement personne dehors ce qui rend tout ça un peu tristounet
Ancienne abbaye du 8^ème siècle, abbatiale et bâtiments conventuels : nous ne visiterons que l’abbatiale car vu l’heure , tout le reste est fermé, mais nous reviendrons plus longuement (20 ans après nous n’y sommes toujours pas retournés… il va falloir y remédier !) pour visiter le reste.












En fin de soirée nous sommes au restaurant « le fil du temps » pour un dernier repas de vacances :
Foie gras accompagné de son verre de Monbazillac, confit de cuisses de canard pommes salardaises, fromage, dessert, café et bouteille de bergerac  pour 75 euros

Lundi 4 mars 2002

Nous nous levons vers 8 h 00 : un soleil magnifique mais il fait froid, les vitres du camping-car sont couvertes de givres (il a fait - 3°C cette nuit). Un petit coup de chauffage, toilette et petit-déjeuner et direction la région parisienne.
Un petit arrêt à Thiviers si quelquefois le musée du foie gras était ouvert ? pas de chance il est fermé.
Nous continuons, Limoges puis l’autoroute, déjeuner du côté de Vierzon.
Il est 15 H 45 lorsque nous garons le camping-car devant l’appartement de Saint Michel sur Orge – Essonne (à l’époque car nous avons déménagé depuis…).
Prochain voyage 2002 en Avril, ce sera l'Irlande