La discussion pour le concours photo octobre 2022: rencontres animalières

@chatounette,
Bien sûr que je m'en rappelle !
Et celui-ci, Villa Vizcaya à Miami, plus vert que gris, sans hésitation ?



Le pauvre a eu un petit accident : il paraît que çà va s'arranger ...

@Brigitte42 


Comme celui là ? On dirait que la queue ne s’est pas completement détachée .
Maroc . Gorges d’Ait Mansour 

Hello Brigitte,

Le pauvre a eu un petit accident : il paraît que çà va s'arranger ...

Quand le reptile se sent menacé, il détache volontairement sa queue de son corps. C'est un réflexe nerveux spécifique de l'animal qui agit sur un muscle particulier : l'autotomie.

Celui de ta photo a peut-être voulu échapper à un prédateur.

Une fois détachée, la queue continue à s’agiter et attire l’attention du prédateur. Cela laisse alors le temps au reptile de s’enfuir. La queue repousse ensuite, mais elle est souvent moins belle que la queue d’origine. 

En me promenant au bord de la rivière de l'Yerres, j'ai rencontré cet oiseau :


Je pense que c'est un jeune héron cendré qui n'a pas encore une huppe et une bande noire sur la partie supérieure de la tête.

A hiacinthe , 

Ça correspond bien à un immature .

Aragon , une cigogne prend le frais sous les ombrages de l’église .

Un tour aux Etats Unis :

bisons à Yellowstone dans la fraicheur matinale

Lozere .

Bisons sur le Causse .

Andalousie , parc national de Cazorla , vers Don Domingo .

Une belle vipère dont j’ai oublié le nom , venimeuse mais sans plus .

Trouvé dans le lac Baïkal en y plongeant juste la main...
Mais je n'ai pas vraiment identifié... Peut-être l'un de vous connait ?

Dans le Wadi Rum, il y a aussi des dromadaires 





A Daraw, Égypte, un des plus grands marchés aux dromadaires d’Afrique

@Av31 bonjour , tu me fais penser à ceux ci , animaux rencontrés sur mes routes !

et là c'est souvent que je les croise :

@Pifil
Mille excuses, j'ai essayé par tous les moyens d'enlever le bandeau, impossible; Désolée.

@chatounette
Je viens de t'envoyer un MP explicatif.

Une rencontre éphémère, à Phuket, Thaïlande. il n'est resté là que très peu de temps , le temps que j'aille chercher un appareil photo, et il ne m'a laissé le temps que d'1 ou 2 déclenchements... C'est le papillon Atlas, le plus gros du monde Ce papillon ne s'alimente pas car son appareil buccal est atrophié, il ne vit donc que pour se reproduire. Les mâles vivent environ 4 jours et les femelles 7 à 8 jours. Vous remarquerez le bout de ses ailes en forme de tête de serpent.. On l'appelle aussi papillon Cobra...

Bonjour Hannah,

Ça correspond bien à un immature.

Je te remercie 

@chatounette
Par contre le chauffeur et guide de notre 4x4 en Ethiopie lui n'a pas hésité d'écraser ce python en travers de la piste. Une grosse engueulade s'en est suivie ensuite avec nous sans avoir jamais eu une explication très claire sur ce triste incident qui aurait pu être certainement évité.
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@Av31
Toujours émouvant à voir un agnelage, pendant un trek au maroc en traversant un tout petit village dans la région Assif Ait Hmid.
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Bonjour,
je m'applique pour qu'il n'y ait pas de bandeau blanc au dessus des photos.

En Nouvelle Calédonie, en 2004, aux iles de la Loyauté, Lifou, ce petit garçon regardait partir une tortue luth qui venait de pondre ses oeufs sur la dune, à marée basse.

Dans le parc national de Banff (Rocheuses canadiennes), nous avons rencontré des mouflons au bord de la route.




En voici un qui possède de belles cornes :



J'ai lu que les cornes du mâle pouvaient peser jusqu'à 14 kg, autant que son squelette. Elles poussent indéfiniment chez le mâle, jusqu'à restreindre son champ de vision. À cause de cette restriction, les mâles doivent raccourcir leurs cornes, ils le font en râpant le bout de la corne sur des rochers. En anglais, le mouflon canadien s'appelle "bighorn" en référence à ses longues cornes qui peuvent atteindre un mètre.

Dans le sud-ouest des Etats-Unis, nous avons rencontré des mouflons du désert (une sous-espèce du mouflon d'Amérique du Nord).
Nous avons vu ceux-là dans "Valley of Fire State Park" (Nevada) :








Ils utilisent leurs cornes comme outils pour casser les cactus ouverts, qu'ils consomment, et pour se battre.  Les caractéristiques et le comportement du mouflon du désert suivent généralement ceux des autres mouflons d'Amérique, à l'exception de l'adaptation au manque d'eau dans le désert. Ils peuvent passer de longues périodes sans boire d'eau.

Le mouflon du désert s'est bien adapté à la chaleur et au froid du désert et, contrairement à la plupart des mammifères, sa température corporelle peut fluctuer en toute sécurité de plusieurs degrés. Pendant la chaleur du jour, ils se reposent souvent à l'ombre des arbres et des grottes.
Les mouflons du désert du sud sont adaptés à un environnement montagneux désertique avec peu ou pas d'eau permanente. Certains peuvent se passer d'eau pendant des semaines ou des mois, maintenant leur humidité corporelle à partir de la nourriture et de l'eau de pluie recueillie dans des bassins rocheux temporaires. Ils peuvent avoir la capacité de perdre jusqu'à 30% de leur poids corporel et survivre. Après avoir bu de l'eau, ils récupèrent rapidement. Les écologistes de la faune commencent tout juste à étudier l'importance de cette stratégie adaptative, qui a permis à de petites bandes de mouflons du désert de survivre dans des zones trop sèches pour bon nombre de leurs prédateurs.

Bonne après-midi !

@ Hiacinthe ,

Si les mouflons t’intéressent , on peut en observer facilement en Dordogne dans les gorges de l’Eauvezere où ils ont été réintroduit il y a une cinquantaine d’année . Apparemment ils auraient commencé à essaimer dans une bonne partie du département . 

Bonsoir Hannah,

Si les mouflons t’intéressent , on peut en observer facilement en Dordogne dans les gorges de l’Eauvezere où ils ont été réintroduit il y a une cinquantaine d’année . Apparemment ils auraient commencé à essaimer dans une bonne partie du département . 

Je te remercie. Ils sont très beaux 

Bonjour les photographes !
Peu de photos de Floride ont été affichées ; je poste celles-ci, non pour la qualité des photos, mais parce qu'elles sont tout à fait dans le thème ' rencontres ... ' !

Non loin de l'une des entrées du NP des Everglades, une très jolie promenade à pied fait découvrir, sans difficulté, la faune de parc : c'est l'Anhinga Trail, sentier de randonnée où on se balade sur des pontons en bois qui surplombent marais et mangroves côtières .
On y fait de nombreuses rencontres, certaines plus surprenantes que d'autres !

Sur le chemin d'accès, cette charmante tortue


... côtoie un visiteur moins engageant, dont je ne connais pas l'espèce ...


Passons sur le ponton : sur la barrière de bois, trônent 2 beaux criquets jaunes de Floride, chacun de 7 à 8 cm de long :


Je ne résiste pas à les immortaliser, sous divers angles, jusqu'à ce qu'à ce qu'un bruit d'eau ne m'intrigue : à moins d'1 m de moi, un bel alligator , sortant du marais, s'infiltre sous la barrière et grimpe sur le pont ...


Je n'ai pas traîné ; mon mari, plus éloigné, a eu le réflexe de le photographier !


Petite frayeur !